Michel passe la nuit seul dans une cellule située à l’extrémité d’un interminable couloir éclairé en permanence. Une seule paillasse dans cette cellule qui sans doute n’a jamais été lavée.
Michel a du mal à trouver le sommeil plongé qu’il est dans cette odeur persistante de sueur et de saleté et il est très perturbé. S’évader d’ici revient à se suicider, de plus, en cas de réussite peu probable, si la milice vous retrouve c’est direction la forteresse et c’est alors tomber dans l’oubli à jamais. Dominique sa Cheffe de foyer avait regardé une émission télévisée à ce sujet qui expliquait que les détenus disparaissaient au bout d’un moment sans laisser de traces.
Il apprend le lendemain qu’à compter de lundi et pour 3 jours il sera affecté en cuisine au service à table au restaurant des cadres. Cheffe Clara lui indique qu’à cet effet il portera une tenue réglementaire de service très élégante, tenue qui a été décidée et choisie par la Cheffe de centre. Toutefois, Clara le prévient par avance : être surpris à consommer de la nourriture équivaut à une faute extrêmement lourde, même prélevée dans la poubelle ce qui s’est déjà produit. Cheffe Clara lui explique qu’il sera sous les ordres de la Cheffe de cuisine une femme très dure et maniaque. Le travail débute à 7h et se termine à 22 h sans interruption, sans pause, et sans nourriture le midi, les temps morts entre les services étant consacrés au nettoyage des installations.
Salle de discipline :
Cheffe Clara a fait une réservation pour pouvoir disposer de la salle de discipline pendant deux heures. Elle s’y dirige avec le rééduqué Michel tenu en laisse car fraichement arrivé au centre, et qui n’est pas encore bien familiarisé avec la marche de dressage. La dite salle se trouve localisée au second sous sol du centre et on y accède généralement par l’ascenseur. D’une surface d’environ 90 m2 elle abrite l’ensemble des dispositifs habituellement vus dans les donjons appartenant à des dominatrices. Du matériel sophistiqué jusqu’au plus simple instrument. Au premier sous sol se trouvent des bureaux annexes comme les services généraux et aussi une grande salle de repos pour les rééducatrices.
Clara a dit STOP car elle vient de croiser une collègue et souhaite discuter quelques minutes avec elle. Elle frappe Michel sèchement sur les cuisses car il n’a pas embrassé les pieds de la rééducatrice et Clara ajoute devant sa collègue « tu vas le payer ! »
En attente dans le couloir, Michel a tout loisir de voir un détenu assez maigre tirant un charriot contenant balais et matériel d’entretien. Le détenu porte un brassard avec la mention Rééduqué / Esclave service entretien. Subitement et face à lui, surgit une Cheffe qui commence à le gifler avec violence puis lui attrape l’oreille en y plantant ses ongles et le tire sur dix mètres sans ménagement en hurlant comme une furie.
« Tu as vu ton travail espèce de déchet, tu as vu les petites traces noires de chaussures devant ce bureau ? J’ai ton matricule et j’en parle aujourd’hui même à ta Cheffe pour que tu prennes une bonne sanction bien salée. En position corrective immédiatement face à moi!! Je suis Maîtresse Laura, tu vas prendre une bonne raclée. Tu me regardes ! ça va tomber . »
Cheffe Clara et sa collègue ne tourne même pas la tête, tant ce type de traitement est très courant et parait tout à fait normal et nécessaire.
La Cheffe concernée, comme si elle tapait du pied dans un ballon projette alors sa jambe à deux reprises en plein sur ses testicules du malheureux accompagné d’une grande paire de gifles. Impossible pour le détenu de retenir un grand hurlement de douleur et de tomber à genoux plié en deux.
« Maintenant à genoux face à moi pour une nouvelle série à travers ta face de déchet !!!
– Oui Cheffe pardon !!
– Tu prends du produit et tu vas nettoyer devant moi et à mes pieds en tenant l’éponge par la bouche entre tes dents et en frottant !!
– Oui Cheffe ! Pardon Cheffe !
– Je fais également un rapport à ma Cheffe d’unité pour qu’elle te punisse, la prochaine fois tu veilleras à ne pas laisser de traces sur le sol. Tu vas déguster et je vais insister pour une punition exemplaire afin de bien te mater !!
– Oui Cheffe ! Merci Cheffe !
– Et tu embrasses mes pieds , sale déchet !! «
Quelques instants plus tard, Cheffe Clara active l’ouverture électrique du donjon, nommé ici salle de discipline. La salle ne comporte aucune fenêtre et comme toujours est éclairée au néon. A droite en entrant se trouve installée sur une estrade haute un très beau bureau avec juste en face au sol un tapis en mousse. Un petit escalier en bois semble être le passage obligé pour accéder au tapis. Michel pense au nombre de détenus qui ont du durant des années franchir cet escalier pour se placer devant leur Cheffe et écouter le sort qui leur est réservé.
Clara : « C’est ici que les rééduqués sont placés à genoux sur le tapis lorsqu’ils arrivent avec une rééducatrice qui leur fait prendre connaissance des différentes sanctions dont ils ont fait l’objet pour une période donnée en rappelant les motifs et les infractions. La pièce est totalement insonorisée ».
A la suite la rééducatrice indique la nature des punitions dont il va faire immédiatement l’objet.
« C’est très déstabilisant pour le rééduqué qui ainsi comprend mieux pourquoi il est puni. Le détail du châtiment est également décrit avec précision, pour qu’il ne soit pas pris en traitre. Tout étant noté au fil de l’eau certaines punitions concernent des fautes vielles parfois de dix jours. Il y aussi ce que nous appelons les rappels, disciplinaires et tu découvriras cela bientôt. En effet, nous savons que les rééduqués oublient vite, en conséquence des rappels disciplinaires sont régulièrement faits pour des fautes anciennes avec nouvelle punition venant se cumuler à la première. »
« Après la visite tu viendras te placer face au bureau, ce sera la première fois pour toi mais en trois ans tu auras de multiples occasions de vivre ce merveilleux moment ».
Clara commente ensuite la visite :
« Ce treuil électrique que tu vois ici avec les barres d’écartement bras et jambes permet de placer un rééduqué en bonne position pour une punition à l’aide des différents instruments tous accrochés ici dans cette magnifique armoire ouverte. Comme tu le vois il y a un choix considérable. Ici c’est l’armoire à cagoules, minerves et bâillons, outils presque systématiquement utilisés lors d’une séance disciplinaire. »
« A droite c’est un siège spécial utilisé pour dresser les rééduqués réfractaires à l’urine. Le détenu entièrement nu est allongé dans ce bac, solidement attaché avec des courroies et reçoit en bouche ce tube avec un maintien élastique et un grand réceptacle à urine. La rééducatrice est assise et peut à loisir se soulager ainsi le détenus est condamné à consommer. Le but étant que plusieurs rééducatrices présentes puissent à loisir y vider leurs vessies puisque une séance de ce type dure plusieurs heures. Tu y auras droit également très vite car je souhaite que cela devienne naturel pour toi. Tu apprendras à aimer mon goût et mon odeur. C’est en quelque sorte un WC humain très efficace. La gorge du rééduqué est transformée en siphon et cela participe à activer leur libido puisqu’ils peuvent par la même occasion admirer l’anatomie des femmes qui se soulagent «
Michel n’en croit pas ses yeux et est comme anesthésié.
« A gauche, ce dispositif est appelé ici table de suprématie de la femme. Le rééduqué y est installé et attaché solidement sur cette structure en métal dans une position adaptée pour recevoir sa rééducatrice correctement. Dans cette armoire se trouve une trentaine de godes ceintures de différentes dimensions et diamètres avec du matériel d’hygiène. La rééducatrice peut actionner un volant de réglage afin de placer le rééduqué dans la position idéale pour le travailler selon ses souhaits. Là aussi en trois ans tu auras le temps d’y gouter plusieurs fois par semaine. »
« Au centre tu peux voir le tapis d’entrainement de parachutisme. Le rééduqué est debout sur le tapis et sa Cheffe l’équipe de ce système composé d’une attache spéciale à la base des testicules, d’une barre en métal pouvant recevoir des pastilles de plomb. La charge est progressive selon les désirs de la rééducatice. L’outil concerne les rééduqués réfractaires aux séances de parachutisme collectives que nous organisons chaque semaine en groupe. Ils sont donc punis ici. En effet de manière générale nous souhaitons des rééduqués avec de belles poches testiculaires bien pendantes. Tu vas également y passer très vite. Un rééduqué réfractaire et qui travaille mal en séance collective est aussitôt condamné à plusieurs séances individuelles ici. Une fois chargé, le rééduqué doit marcher au pas de gymnastique et parfois en musique pendant une heure. Tenue entièrement nu en baskets mains menottées dans le dos. »
« Ici dans cette cabine se trouve le siège pour traitement disciplinaire électrique ou électro punition. Beaucoup de rééducatrices l’utilisent et les détenus sont le plus souvent terrorisés lorsqu’ils apprennent une fois à genoux face au bureau qu’ils sont condamnés à d’une séance électrique d’une heure à titre punitif pour purger leur peine.
Plusieurs systèmes équipent le siège dont un plug à impulsions très redouté par les détenus et aussi un système branché sur l’urètre et les testicules. Le rééduqué reçoit un voltage régulier mais pouvant être augmenté à discrétion. Une autre possibilité existe avec envoi d’un courant assez fort programmable pour intervenir pendant 30 minutes et, toutes les minutes et pendant 15 secondes à chaque fois. Le rééduqué est ainsi totalement conditionné. La cabine est fermée et équipée d’un hublot permettant de voir les réactions du détenu. Un bâillon se trouve à disposition dans la cabine et le rééduqué est solidement attaché avec ces courroies. Les rééduqués sortent de cette expérience calmes et soumis à merveille et se jettent aux pieds de leurs Maîtresses, en général trop heureux que la punition soit terminée. Tu auras prochainement l’occasion de découvrir. C’est extrêmement efficace et le rééduqué rentre rapidement dans le droit chemin. Nous ne l’utiliserons pas aujourd’hui mais je note qu’à la prochaine sanction appliquée tu y auras droit. Une séance d’électro punition dure en moyenne une heure. »
« Cela tombe à pic, je viens de voir sur le tableau des réservations que Myriam doit arriver sous peu avec un puni qui va bénéficier d’une électro punition, nous allons donc attendre afin que tu puisses voir. J’aime en effet que mes déchets prennent bien conscience, ainsi je ne les prends pas en traitre. »
« Enfin, voici le siège d’immobilisation étape intermédiaire avant l’enfermement au frigo en cage basse. Le puni avec une grosse cagoule en cuir, une minerve, un bâillon de discipline et une cape en latex est totalement isolé du monde extérieur avec généralement un plug performant. L’immobilisation dure en général toute une journée. »
Une fois la visite terminée, Cheffe Clara ordonne à Michel de se placer entièrement nu sous le portique doté d’un treuil. Tu attends en position corrective.