Sacrée soirée

Luc sonna à la porte et attendit que Mélanie, sa compagne vienne lui ouvrir. Pas de réponse ! Après quelques secondes il sonna une seconde foi, un peu impatient. Toujours pas de réponse. Il faut dire que Luc était parti précipitamment de son bureau suite au message que lui avait laissé Mélanie sur son portable. Un message concis et clair « viens vite, je suis déjà trempée… »
Sur le chemin il avait imaginé un petit scénario qui l’avait mis en condition. Et là planté devant la porte, Mélanie ne lui ouvrait pas ! ha! la salope se dit il ; elle ne perd rien pour attendre !
De son coté Mélanie s’ était préparée pour l’ accueillir en tenue minimale sexy. Soutien gorge et culotte. Elle savait à quoi s’attendre. Enfin plus ou moins.
A bout de patience Luc sonna une nouvelle fois avec insistance et la troisième tentative fut la bonne. Il entendit claquer ses talons dans le couloir… Elle arrivait enfin.

Mélanie déverrouilla la porte nonchalamment, mais à peine fut elle entrouverte que Luc entra d’un coup. Elle n’eut pas le temps de réagir ni de dire quoi que ce soit à part un petit cri de surprise, que Luc la plaquait déjà de face contre le mur du couloir, la tenant fermement par les cheveux. Ses seins écrasés contre le mur elle souffla…. « tu n’es qu’une brrrrute ! » « C’ est toi qui me rends comme ça » lui répondit il tout en la saisissant par les poignets qu’il ramena sans son dos et auxquels il passa des menottes.

Sans attendre il l’ entraîna jusqu’à la cuisine, qui était la pièce la plus proche. Là il la plaqua contre la table, puis fit basculer son buste en avant. Mélanie se débattait mollement… pour la forme en laissant échapper des Haaaaa !!! plus ou moins étranglés.
Luc tout en la maintenant fermement d’ une main par les menottes de ses poignets contre le plateau de la table, la priva de l’autre main de sa culotte d’un geste vif .
Mélanie poussait maintenant des gémissements aigus qui redoublèrent d’intensité quand Luc lui claqua ses fesses qu’elle balançait de droite à gauche en se cambrant.
Luc abandonna un peu à contre cœur les fesses de Mélanie pour baisser son pantalon et faire jaillir son sexe tendu à éclater.
Il remonta la cuisse gauche de Mélanie. De sa main il frotta son sexe contre celui de Mélanie et la fourra d’ un coup… jusqu’au bout. Ils poussèrent tous les deux un Haaaa ! de plaisir intense, bien que les deux n’eurent pas la même sonorité et densité.
Luc la saisit à deux mains par son bassin et commença un va et vient lent mais profond. A chaque coup de boutoir Mélanie émettait des hooo ! des haaaa! des Ouuuiiiii en continu. Avec ses poignets menottés elle tendait ses bras, les remontait, tout en faisant tourner ses poignets dans les bracelets de ses menottes. Ses mains s’ouvraient, se refermaient, ses doigts se crispaient ou se détendaient dans un balais incessant de plaisir. Son buste se soulevait, se tendait puis retombait vaincu sur la table écrasant ses seins. Ses gémissements étaient devenus rauques, sa respiration s’était accélérée.
Luc ne perdait pas une miette de ce spectacle superbe qui l’ excitait encore plus. Il accéléra la cadence. Toute la table tremblait et tout le corps de Mélanie vibrait, frémissait, palpitait. Elle n’allait pas tarder à jouir. Quand elle émit des Ha!Ha! Ha oui! oui ! oui ! Luc comprit que le dénouement était proche, alors il poussa encore un peu plus fort et Mélanie se mit à trembler de tous ses membres, elle était en feu et elle explosa dans un cri de plaisir d’ extase et volupté.

Son désir assouvit elle se laissa aller et s’affaissa vidée sur la table cherchant à reprendre sa respiration. Luc qui avait pris son plaisir en même temps qu’elle se retira non sans un gémissement de Mélanie et l’embrassa. Ce fut un moment d’apaisement, de sérénité et de tendresse…. mais ce n’ était que le début de la soirée !

Pendant que Mélanie reprenait ses esprits, Luc l’amena ses poignets toujours menottés au salon et l’allongea sur le grand canapé de cuir noir. Luc s’absenta quelques instants et revint avec des sangles…. Luc caressa le corps de Mélanie tendrement quelques instants puis prit une sangle en cuir et lui passa la sangle à ses chevilles.
Mélanie accueillit cette nouvelle entrave avec un soupir de volupté. Elle adorait être attachée. Bien serrée. Se sentir prisonnière offerte au désirs et caprices de Luc.
Mélanie s’assoupie. Son corps ondulait doucement profitant pleinement de sa situation. Luc posa devant elle la télécommande de la télé et partit préparer le repas du soir vu qu’il était déjà presque 20h.

Mélanie toujours les poignets menottés dans le dos et ses chevilles sanglées, se contorsionna pour se redresser et après quelques efforts elle arriva à se mettre en position assise; Ce n’ était pas facile, mais tellement bon de faire ça attachée. Elle se contorsionna encore un peu pour se saisir de la télécommande, et mit sa série préférée. Quand Luc revint dans le salon, il la trouva installée confortablement. Elle lui sourit. Luc s’assit à coté d’elle et lui retira enfin son soutien gorge, libérant ses seins généreux.
Tout en prenant des nouvelles de sa journée, il lui pressait ses tétons, les faisait rouler entre ses doigts, les secouait ce qui faisait ballotter ses seins et ne facilitait pas le récit de Mélanie sur ses activités récentes ; souvent entrecoupé de petits cris, de soupirs et autres onomatopées qui traduisaient sa délectation. Tout en bavardant de choses et d’autres, Luc prit une nouvelle sangle qu’ il lui passa tranquillement autour de ses coudes et la serra jusqu’à ce que les deux coudes se touchent ; ce qui eu 2 effets immédiats :
un gémissement de contentement de Mélanie et en même temps la propulsion de sa poitrine en avant. Poitrine que Luc ne manqua pas de caresser et de malaxer à pleine mains.

Mélanie avait fermé les yeux et profitait pleinement de ce traitement, toute offerte aux mains palpatrices de Luc. Celui-ci prit une autre sangle avec laquelle il enserra les genoux de Mélanie…Ravie. Une foi fait, il repartit à la cuisine. Mélanie de moins en moins capable de bouger et après le petit traitement de Luc, fut parcourue de quelques délicieux frissons qui se répandirent jusqu’à son sexe et entraînèrent un profond soupir.
Elle se relaissa aller dans le canapé et retrouva sa position allongée. Son corps ondulait langoureusement. Elle savourait ses liens. Les odeurs de cuisine arrivaient jusqu’à elle, ce qui lui ouvrit l’ appétit. Le moment de passer à table était proche.
« Tu as faim ? » lança Luc depuis la cuisine. « Oui je meurs de faim » lui répondit elle. Je vais bientôt venir m’occuper de toi…..

Quelques minutes plus tard elle le vit entrer dans le salon et vit qu’il avait à la main une paire de menottes et une longue chaîne. Ce qui lui donna une idée de ce qui allait suivre. Luc lui retira la sangle de ses chevilles qu’il remplaça par des menottes. Il lui retira ensuite les autres sangles, lui libéra un poignet pour lui menotter les mains devant cette fois. Ensuite Luc mit Mélanie debout et fixa la chaîne à une extrémité aux menottes de ses poignets et à l’ autre aux menottes de ses chevilles. La longueur de la chaîne lui maintenait les bras tendus vers le bas. Elle était extrêmement désirable comme çà, entièrement à poil et enchaînée.
« Tu vas passer un repas magnifique » lui dit il. Il l’embrassa, puis la saisit par les menottes de ses poignets et l’entraîna comme ça à petits pas, en direction de la cuisine. Ils avançaient lentement. C’était normal étant donné les chevilles menottées de Mélanie. Pour Mélanie ce n’était que du plaisir. Elle adorait sentir ses poignets et ses chevilles prisonniers des menottes qui la privait des ses mouvements.
Pour avancer, tantôt Mélanie se dandinait d’un pied sur l’ autre, tantôt les faisait glisser. Toujours maintenue par les menottes de ses poignets, ses seins rebondissaient à chaque petit saut. De temps en temps, pour l’ encourager et l’exciter un peu plus, Luc lui claquait ses fesses. Chaque claque était accompagnée d’un petit cri et d’ un petit sursaut.
Elle encourageait à son tour Luc en se cambrant pour lui offrir encore plus ses fesses.

Elle aimait se sentir à lui. Puis la marche reprenait. La halte fessée s’étant reproduite plusieurs fois, ils mirent une bonne vingtaine de minutes pour arriver jusqu’à leur destination.

Une fois dans la cuisine Luc abandonna Mélanie face à la grande table en chêne (et pas en chaîne) qui avait servie à leurs premiers ébats. Mélanie avait toujours un petit sentiment de honte de se voir plantée là, nue et menottée, à disposition, sans trop pouvoir bouger. Mais en même temps ce sentiment décuplait son plaisir.
C’est ce qui la faisait vibrer… Entres autres…

Luc revint vers Mélanie, tira une chaise de dessous la table où deux couverts étaient déjà dressés et y installa Mélanie. Il lui retira les menottes de ses poignets pour mieux menotter ses poignets au dos du dossier de la chaise. Elle se tenait le buste bien droit et regardait Luc s’occuper d’elle. Ce dernier retira les menottes de ses chevilles.
Dans un second temps il saisit la cheville droite de Mélanie et remonta sa jambe en douceur en arrière, jusqu’à ce que la cheville soit à proximité de la jonction entre le premier montant du dossier de la chaise et le siège lui même ou il fixa un bracelet des menottes et passa le second à la cheville de Mélanie.
Il fit le tour de la chaise et réalisa la même opération du coté gauche.
Cette position suspendait les chevilles de Mélanie et ouvrait complètement ses cuisses. De plus, elle offrait le sexe rasé, sans défense et totalement accessible de Mélanie aux fantaisies de Luc.

Satisfait de son œuvre, il apporta sur la table une grosse salade qu’il avait préparée et vint s’asseoir tout près d’elle.
« Tu veux une coupe de champagne ? » Le champagne convenait parfaitement à la situation et s’accordait à merveille avec l’éclairage chaud et doux que prodiguaient les flammes des deux chandeliers posés sur la table. Mélanie répondit d’ un « oui s’ il te plaît » quelque peu étranglé.
Luc servit deux coupes dont une qu’il approcha des lèvres de Mélanie et fit couler délicatement le liquide pétillant.
Mélanie se délectait à la fois du champagne et de sentir la morsure des bracelets des menottes qui suspendaient ses chevilles. Luc garda ce qui restait de champagne dans la coupe pour le faire couler lentement sur un sein de Mélanie. Au contact du liquide frais Mélanie ne pu retenir un petit gémissement et sa tête bascula en arrière, ses narines dilatées et sa respiration plus forte. Quand le liquide coula sur son deuxième sein sa peau se couvrit de frissons et elle commença à se trémousser… un délice.
Quand Luc fit couler ce qui restait du liquide sur son sexe et qu’elle le sentit se répandre jusqu’entre ses cuisses, elle poussa une sorte de feulement aigu en se tortillant dans ses menottes qui la fixaient à sa chaise. Impossible de fuir ; mais elle ne voulait pas s’échapper, au contraire elle voulait que ça continue, encore et encore.

Luc posa la coupe vide sur la table et lui dit « bon ! si l’on mangeait ! » Mélanie se crispa et se détendit aussitôt. Elle eut un profond soupir, comprenant que son prochain orgasme ne serait pas pour maintenant.
« Ha! Salaud, tu me frustres… Tu fais tout ce que tu veux de moi. Profite bien de ton plaisir autant que je profite du mien ».
Comme réponse il prit ses seins à deux mains et lui pressa ses tétons entre ses doigts. A la réaction de Mélanie, cette pratique dépassait largement les 10/10.

Le reste du repas se poursuivit dans le même esprit mais la tension devenait de plus en plus palpable, comme si l’air s’était chargé du désir de chacun.
Le moment du café approchait ; mais avant d’aller le préparer Luc prit sur la table un petit boitier duquel il sorti une petit vibro électrique, pas plus grand que le pouce.
A sa vu, Mélanie ondula sur sa chaise anticipant ce que Luc lui réservait.

La tension de Mélanie était telle que quand Luc lui ouvrit de ses doigts les lèvres de son sexe, au simple contact Mélanie sursauta et envoya son bassin en avant d’un mouvement totalement incontrôlé, qui fit se soulever la chaise et cliqueter ses menottes.
Même Luc en fut surpris.
Mélanie, passée sa première émotion, regardait intensément la main de Luc munie du petit vibro, s’approcher de son sexe. Ce que Luc faisait très lentement ; Quand il fit pénétrer le vibro, les cuisses de Mélanie entrèrent dans un tremblement incontrôlable. Elle poussait des petit cris saccadés. Quand Luc enfonça la totalité du vibro au fond de son sexe son bassin se mit à onduler frénétiquement accompagné de Hoooouiiiiiii à n’ en plus finir.

Satisfait Luc posa le boitier de la télécommande sur la table et alla préparer le café Mélanie était loin, très loin du café, c’était même à cet instant la dernière de ses préoccupations. A ce stade Mélanie était entrée dans une autre dimension. La sienne ; ou vivait son plaisir.
Un plaisir intense sans retenu, libre de s’ épanouir totalement.

Menottée sur sa chaise, ses cuisses grandes ouvertes sur son sexe dégoulinant, Mélanie était merveilleusement indécente et terriblement appétissante.
Luc revint avec ses cafés. « Tu veux boire ton café ? » lui demanda-t il. Mélanie lui répondit non d’un signe de tête et lui dit d’ une voix cassée : « Non, ce que je veux c’est que tu t’occupes de moi, que je sois ta chose, ton objet ».
Luc posa les cafés sur la table et vint se placer derrière Mélanie. Luc adorait faire d’elle ce qu’il avait envie, quand il en avait envie et comme il en avait envie… sans question ni préambule. C’est ce qu’ il fit en bandant les yeux de Mélanie avec un masque noir qu’il serra bien a l’arrière de sa tête. Mélanie frémit. C’était le noir total ce qui aiguisait encore plus ses sens.

Luc caressa son visage , son cou, puis descendit jusqu’à sa poitrine. Mélanie ne pu se retenir de lui dire « Ouii pétri moi les seins, malaxe les, oui bien à fond, ils sont à toi ».

Son corps était en perpétuel mouvement dans la limite de son enchaînement. Elle tirait sur ses poignets, ses bras, ses cuisses, ses chevilles.
Luc abandonna les caresses pour lui claquer ses seins. A chaque nouveau cinglement qui faisait ballotter ses seins de droite à gauche et de haut en bas, un petit cri aigu s’échappait de ses lèvres et provoquait une nouvelle contorsion .

Pour parfaire le traitement de ses seins Luc plaça des pinces à ses tétons gonflés de désir. Nouveaux gémissements, nouvelle contorsions. Sa respiration s’était accélérée, son corps était agité de mouvements désordonnés. Elle haletait en continue. Son ventre était devenu un volcan incandescent.
Luc prit quelques instants pour lui placer un bâillon boule dans sa bouche. Ses cris, ses gémissements, ses suppliques s’étouffèrent. Sa tête dodelinait de droite à gauche.
Cela fait Luc prit le boitier de la télécommande du vibro et augmenta la cadence des vibrations juqu’à ce que Mélanie entre dans une sorte de transe. Puis posa la télécommande et contempla Mélanie sans la toucher.
Il voulait la voir jouir comme ça. Le vibro continuait son oeuvre ce qui donnait l’ impression que Mélanie était possédée par une centaine de mains invisibles qui palpaient frénétiquement tout son corps qui se mit à vibrer ,à trembler et à se tordre de toutes parts.
Puis son corps se tendit à l’ extrême accompagné d’ un gémissement aigu et saccadé jusqu’à ce que le volcan qui vivait en elle ne déversa sa lave brûlante et libératrice.

Vaincu, son corps s’affaissa sur sa chaise. Sa respiration retrouvait petit à petit un rythme bien plus raisonnable. C’est l’ instant que choisit Luc pour lui retirer le vibro ce qui la fit frémir et pousser un grognement étouffé par son bâillon.
Luc aurait pu la libérer tout de suite, mais il préféra se faire d’abord un autre café en profitant des gloussements de plaisir de Mélanie.
Il but son café tranquillement en se disant que c’était une soirée fantastique. Il posa la tasse vide sur la table et entreprit de retirer les menottes des chevilles de Mélanie.

Il y a toujours une période de calme entre deux tempêtes.

Luc s’ assit en face de Mélanie, prit ses jambes, les installa sur ses cuisses et lui massa les chevilles et les pieds, allant même jusqu’à lécher ses orteils.
Mélanie, grisée à la fois par le champagne et son dernier traitement, totalement détendue, profitait pleinement des bienfaits des mains et de la langue bienfaitrice de Luc.
Son corps ondulait toujours au rythme de ses petits gémissements de volupté. Au bout de quelques minutes, Luc reposa les pieds de Mélanie sur le sol. Il se leva, passa derrière Mélanie et lui retira l’ anneau qui retenait ses menottes au dossier de la chaise. Il l’ aida à se mettre debout puis menotta à nouveau ses chevilles. Il la libéra aussi des pinces de ses tétons, acte ponctué par deux petits cris. Il lui laissa les yeux bandés et son bâillon dans la bouche. Luc la souleva et la pris dans ses bras. Mélanie gigota quelques secondes en prononçant quelques mots inintelligibles, puis se laissa aller au creux des bras de Luc.

Il la porta comme ça jusque dans leur chambre au premier étage. Là régnait en son centre un lit à baldaquin, toujours utile, sur lequel Luc déposa Mélanie plus ou moins délicatement à tel point que quand son corps entra en contact avec le matelas elle poussa un cri de surprise, puis rassurée elle se tortilla comme une liane voluptueusement sur sur la couette moelleuse . Se faisant rouler tantôt sur le dos, tantôt sur le ventre elle se cambrait en essayant tant bien que mal de se caresser les seins et le sexe.
Luc ne la quittait pas des yeux tout en préparant divers ustensiles pour la suite. Il fit cependant une petite coupure pour menotter ensemble les poignets et les chevilles de Mélanie. Ses pieds et ses mains se touchaient dans son dos.
Elle était délicieuse.
Luc la caressa, la malaxa jusqu’ à ce qu’e pas la moindre parcelle de son corps ne soit épargnée. Un régal.

Petite halte pour lui passer des menottes à ses coudes, à ses pouces et a ses orteils et Luc reprit son malaxage.
Il la fit rouler sur le dos et ses cuisses s’épanouirent et s’ouvrirent sur son sexe d’un mouvement souple et gracieux.
Devant cette offrande irrésistible, Luc glissa devant elle, mis sa tête entre ses cuisses et lui lécha avec la pointe de sa langue et par petites lapées son clitoris.
Des ondes successives de plaisir électrisaient tout son corps. A chaque nouveau contact ses seins se soulevaient, ses gémissements s’intensifiaient.

Après quelques minutes de ce traitement Luc mordilla son clito puis le suça et le prit à pleine bouche. Ensuite sa langue envahit son sexe dégoulinant.
Mélanie haletait, frissonnait, enivrée par ses sens exacerbés.
Luc, repu de son sexe béant gorgé de plaisir, retourna Mélanie sur le ventre. Passant une main entre ses cuisses il commença à faire pénétrer un doigt dans son anus suintant. Quand Mélanie sentit le doigt de Luc la pénétrer elle souleva ses fesses pour bien lui offrir son trou.
Luc continuait son avancée.

A chaque poussée il enfonçait un peu plus son doigt lui dilatant son orifice au fur et à mesure. Quand le premier doigt ne rencontra plus de résistance il en rajouta un second et reprit son introduction annale. Sous cette double intrusion digitale Mélanie ondula langoureusement du fessier et poussa un feulement continu simplement interrompu de temps à autres par des Hooo !! des Haaaa !! des Mmmmm !!
Elle se délectait d’ être traité de la sorte. Enchaînée et fourrée. Au bon vouloir de Luc qui à cet instant abandonna sa dilatation pour changer Mélanie de position. Au grand désespoir de cette dernière.

Luc la souleva et la mit à-genoux sur le lit.
Une fois installée Luc prit de longues cordes. Il enroula la première autour du torse de Mélanie juste au dessus des ses seins en faisant plusieurs tours bien serrés .
Il recommença la même opération mais cette fois ci en passant au dessous de des seins. Il prit une autre corde. Il la fit passer dans son dos, sous les cordes qui ligotaient son buste, puis serra l’ensemble avec un double nœud bien solide.

Pendant ce temps Mélanie n’ arrêtait pas de se tortiller langoureusement en dodelinant de la tête. Elle avait accueilli chaque tour de corde avec des gloussements de plaisir.
Luc passa ensuite la corde dans un anneau fixé à une poutre du plafond, la fit redescendre pour en attacher l’ extrémité au double nœud qu’il avait fait précédemment.
Ensuite Luc fit pencher le buste de Mélanie en avant jusqu’à ce que la corde soit tendue et que le buste de Mélanie se retrouve suspendu à l’horizontale.
Cela fait Luc prit une nouvelle corde et attachât une extrémité aux menottes des poignets de Mélanie, et fit passer l’ autre extrémité dans l’ anneau du plafond et tira pour faire remonter les bras de Mélanie. Hummm ! pas mal se dit il . A ce stade Luc marqua une pose pour flatter la croupe de Mélanie, qui émit une sorte de grognement au contact de sa main , l’ autre main se consacrait au malaxage de ses seins pendants dans la vide.

Mélanie continuait ses contorsions langoureuses et manifestations vocales de plaisir. Luc en profita un long moment avant de lui claquer ses fesses. Satisfait Luc la laissa se balancer doucement au bout de la corde qui la suspendait pendant qu’il lui écartait les cuisses. Celles-ci, bien ouvertes il passa une corde au dessus de son genou droit. Il fit plusieurs tours et attacha la corde à l’armature du sommier. Il procéda de la même manière pour le genou gauche. Ainsi entravée Mélanie ne pouvait plus resserrer ses cuisses. Il fit la même chose avec ses chevilles qu’il ligotât bien écartées au sommier.

Mélanie se laissait faire avec délectation totalement abandonnée aux manipulations de Luc. Mélanie, les cuisses largement ouvertes, laissait ainsi son anus et son sexe exposés aux pires délices. Luc retira le bâillon de la bouche de Mélanie. Ensuite, il prit un plug avec lequel il commença par caresser son visage. Mélanie ouvrit sa bouche en essayant avec sa langue de lécher le plug au passage. Mais Luc ne lui en laissait pas l’occasion. « Donne le moi, soufflait elle, S’il te plaît… »
Luc joua quelques minutes avec son désir, puis accéda à sa demande et enfourna le plug dans sa bouche. Elle le suça amoureusement comme si c’était le sexe de Luc. Luc lui retira son jouet et alla se placer derrière elle et commença à lui enfoncer le plug dans son anus déjà dilaté.
Sentant la pénétration, Mélanie se cambra avec un râle aigu d’approbation et de satisfaction. Luc continuait sa progression anale et Mélanie était de plus en plus agitée dans ses liens. Luc retirait le plug de temps en temps pour le réenfoncer chaque fois un peu plus profond, jusqu’à ce qu’ il soit complètement englouti par l’ anus de Mélanie.
Le plug confortablement installé, Luc prenait beaucoup de plaisir à le manipuler dans tout les sens à l’ intérieur du cul de Mélanie, qui étant donné ses gémissements et les contorsions de son corps, appréciait ce traitement au plus haut niveau.

Une nouvelle fois Luc abandonna sa tache et revint se poster devant le visage de Mélanie. Au passage il s’était muni d’un gros gode… Tout rose.
A sa vue Mélanie se mit à gigoter dans ses liens. Luc le lui enfourna dans sa bouche. Alors qu’elle commençait à le sucer avidement Luc libéra son membre avec lequel il ‘‘fouetta’’ d’abord son visage, puis retira le gode de sa bouche pour la fourrer cette fois avec son sexe.
Mélanie dégustait cette offrande. Elle adorait avoir son sexe plein la bouche. Un délice. Luc continua de pénétrer sa bouche tantôt avec le gode tantôt avec son sexe.
Mélanie s’afférait consciencieusement à sa besogne et se régalait de ce menu de choix.

Aprés avoir bien profité de la bouche de Mélanie, Luc se replaça entre ses cuisses et commença à frotter doucement le gode contre la fente béante et dégoulinante de son sexe. Les mains de Mélanie s’ouvrirent d’un coup, les doigts tendus et écartés elle tirait sur les menottes de ses poignets.
Avec ce qui lui restait de souffle et entre deux gémissements, elle se mit à supplier Luc « Non, non s’ il te plaît non, pas ça, je t’ en prie non » C’ était un de ses plaisirs de se « refuser » et elle savait que cela excitait Luc encore d’ avantage. Si c’ était possible ! Luc continua son ‘‘ frottage’’ et commença à presser sur son orifice d’entée.
Les suppliques de Mélanie reprirent de plus belle « Je ne veux pas, non, détache moi, non ne me fourre pas, s’ il te plaît, s’ il te plaît …. » Elle alla même jusqu’à se débattre pour jouer le jeu jusqu’au bout.
Son attitude ne faisait que rajouter un peu de piment à leurs ébats ! Pendant que Mélanie se débattait dans ses entraves, Luc pressa un peu plus sur le gode qui glissa sans effort dans la grotte qui l’ attendait. Comme par enchantement ou enchatement les prières de Mélanie changèrent de sens et les non se mutèrent en hooouuuiiii, ooouuuuiiiiii !!!!….. Pour la récompenser Luc ajouta une deuxième paire de menottes à ses poignets et serra bien tous les bracelets.
Sous la morsure du métal et à chaque nouveau cran elle lançait de petits cris aigus. Luc reprit son envahissement vaginal et Mélanie ses gémissements et halètements maintenant rythmés aux poussées successives de Luc qui toujours accroupit entre ses cuisses entreprit la manipulation du plug et du gode ensemble, ce qui déchaîna les sens de Mélanie déjà largement aiguisés.

Elle était magnifique dans cet état ; ligotée, menottée, les yeux bandés, son buste suspendu, les seins gonflés, les cuisses grandes ouvertes et ses deux pieux plantés dans ses orifices.
Tout son corps qui ondulait, frissonnait, tremblait. Sa voix roque qui suppliait ou gémissait …. que du bonheur.
Luc continuait sa profanation des lieux sacrés, sans accélérer la cadence. Il voulait l’ amener dans ses derniers retranchements jusqu’au plaisir ultime…

Lentement de temps à autre Luc remplaçait le gode ou le plug par ses doigts ou sa langue, histoire d’apporter un peu de surprise, puis calmement reprenait sa pénétration. Mélanie accueillait avec gourmandise le traitement que lui infligeait Luc.
Prisonnière offerte aux pratiques sexuelles de Luc les plus perverses, les plus humiliantes, mais aussi les plus excitantes, les plus torrides, les plus chaudes, les plus exacerbées. Elle sublimait la lave qui coulait en elle, entravée, nue, sans défense, jetée en pâture aux désirs de Luc. C’est tout ce foisonnement de sensations qui l’entraînait à chaque fois vers ce plaisir intense, absolu.
Comme à cet instant, fouillée dans son corps dans une position totalement obscène, mais qui la rendait folle de bonheur. Côté plaisir, suite aux soins passionnés et très particuliers de Luc, le taux d’ excitation de Mélanie était passé en alerte rouge. Tous ses sens à fleur de peau elle n’ était plus qu’un magma de plaisir en fusion.
Sa respiration haletante, ses gémissement aigus et saccadés, son corps secoué de spasmes elle sentait son plaisir toujours plus intense, toujours plus fort monter irrésistiblement. Incapable de le retenir plus longtemps son corps fut secoué par une ouragan de sensations incontrôlables autant que bienvenues.
Son corps tendu de la tête aux pieds, sa jouissance s’exprima par un mugissement sourd et profond qui n’ en finissait plus. Et comme à chaque fois l’ esprit et le corps apaisés, Mélanie se détendit d’ un coup et se laissa aller dans ses liens.

Repue et inondée de bien être. Revenu sur terre, Luc la contempla un long moment, le temps qu’elle recouvre ses esprits. Elle était belle. Il adorait la faire jouir entravée.

Ils s’ étaient rencontrés il y a 6 mois. Par hasard. Chez des amis communs. Dés leur premier regard échangé ils sentirent qu’il se passait quelque chose et quelque chose d’intense. Depuis ils vivaient une aventure fantastique. Chacun ayant trouvé son complément, leur relation s’épanouie et continuait de se développer et de les combler chaque fois qu’ils se voyaient.

Luc entreprit de libérer Mélanie de ses entraves. Une fois fait il vint se coller contre le corps nu, souple et chaud de Mélanie. S’en suivit un long baiser agrémenté des caresses de Luc. La tendresse a aussi son bon côté. Il était presque 1h du matin et la tendance était à l’extinction des feux, mais avant de se coucher Luc dit à Mélanie.
« Donnes moi tes poignets » Mélanie s’exécuta et tendit ses deux bras en avant. Luc saisit ses poignets offerts et les menotta tout en embrassant ses mains.
Son corps ondulait et elle ne pu s’empêcher de se caresser les seins ce qui lui procura quelques frissons.
Pendant que Mélanie se cajolait Luc lui menotta les chevilles « Voilà, lui dit il, tu es prête pour la nuit ». Mélanie répondit par un simple gloussement.
Luc la couvrit de la couette où il se glissa à son tour avant d’ éteindre la lumière.
« Bonne nuit », lui dit il en l’ embrassant. « Toi aussi » lui répondit elle en venant se coller contre lui.

Que se passera-t-il au matin ?……

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