Prise de pouvoir – Gynarchie – Partie 7

Début de dressage :

Michel a été équipé avec un plug de dimension moyenne. Sa Cheffe est au magasin d’habillement, il possède maintenant son casier numéroté, une sorte d’armoire dans laquelle sa Maîtresse place tenues et chaussures nécessaires à sa rééducation. 

« Tu enfiles immédiatement ce collant et tu chausses ces baskets. Tu en auras d’autres lorsque tes semelles seront prêtes. Et tu te dépêches ! On va travailler les positions obligatoires de dressage en salle. Tu ne seras alimenté que ce soir ».

Michel arrive tenu en laisse dans la grande salle de gymnase ou se trouve déjà présente une rééducatrice faisant travailler un détenu. La rééducatrice est en maillot de bain bleu marine une pièce, cravache à la ceinture, chaussures de sport et porte un gros sifflet autour du cou. Le détenu est entièrement nu et semble être en formation pour le saut en hauteur à en croire les deux mâts et leur élastique.

La rééducatrice, une femme très musclée mesurant 1,80m semble calme et s’exprime d’une voix dure et autoritaire  : 

La rééducatrice : « Ca ne va pas du tout !! on reprend tout à zéro. On est là depuis 11 heures du matin et il est 15h. Je vois tes muscles fessiers qui ne travaillent pas assez lorsque tu te propulses. Ton pied d’appel n’est pas assez franc. On bossera jusqu’à 20h s’il le faut !!! Tu ne progresses pas tu régresses on va donc sévir. Je note un blâme et deux sanctions pour tes erreurs, tu connais le tarif. On reprend, et tu t’élances lorsque je donne le départ au sifflet !!! Aucune pause aujourd’hui, je souhaite que ce soit impeccable sinon tu vas passer en discipline renforcée pour deux mois. Tu ne dois penser à rien d’autre qu’à la satisfaction de ta Maîtresse en travaillant bien sous mes ordres. »

Le sifflet retentit:

« C’est un peu mieux mais je souhaite que tu pousses plus sur tes jambes. On reprend !! C’est amusant dés que je parle de discipline renforcée ça s’améliore. Tu continues à t’améliorer sinon la sanction va tomber »

Michel aperçoit à l’extrémité du gymnase une chaise haute en métal généralement utilisée lors des compétitions de tennis et réservées aux examinateurs et arbitres.

Clara : « Tu t’installes sur ce tapis de gymnastique face à cette chaise haute, en position de discipline à genoux mains sur la tête tes doigts bien croisés et tête basse, nuque bien visible. Je vais t’observer en hauteur pour mieux évaluer tes capacités de mémoire et mieux voir ton comportement. On va travailler pendant 3 heures pour que je puisse bien te familiariser avec mes ordres ce qui est la base du dressage et afin que tu connaisses parfaitement les positions disciplinaires les plus importantes que j’utiliserai pour te rééduquer pendant trois ans. Nous avons le temps et je souhaite la perfection. Tu dois être particulièrement attentif, je ne laisserai rien passer, je te préviens, j’exige que tout cela soit parfaitement connu ce soir et il y aura des contrôles réguliers sans préavis. Je vais commencer à exercer sur toi une domination stricte et totale. Je pense que tu l’as bien compris. Cette chaise haute me permet de mieux te commander. J’utiliserai cette longue perche pour corriger tes positions. A compter d’aujourd’hui tu as un cahier de discipline et un cahier de performances me permettant de suivre ton évolution. Tes performances sont également transmises à ma hiérarchie. A chaque manquement si je le souhaite tu auras droit à un traitement punitif ce qui est nécessaire à ton évolution. Tu es sous ma coupe comme un objet. Je profite de te dire que chaque semaine , le lundi matin juste avant la tonte, tu seras convoquée dans mon bureau pour un interrogatoire au sujet de ton mental. D’autre part, une copie de ton cahier de performances sera adressé à ta Cheffe de foyer chaque année »

Clara : « On commence. Tu te relèves et toujours face à moi tu diriges tes yeux vers le sol, tu te places en grand écart, pieds bien parallèles. Ta tête doit être plus basse en signe de soumission et du haut de cette chaise je veux voir ta nuque, tes bras croisés dans le dos. J’ai dit pieds parallèles, je souhaite des pieds parfaitement parallèles bien appuyés dans la chaussure pour me montrer que tu es prêt à m’écouter. C’est une position de discipline que tu adopteras très souvent dans la journée lorsque je souhaite te corriger par plusieurs séries de paires de gifles. Avant de te gifler je te donnerai calmement l’ordre de relever le menton et de me regarder droit dans les yeux. Cette position volontairement humiliante me permet de bien voir ton niveau de soumission avant la correction. Quand tu entendras EN POSITION CORRECTIVE tu te places immédiatement face à moi et en général ça tombera. J’insiste en disant que cette pratique n’entre pas dans mon catalogue de punitions, c’est tout simplement pour moi une manière de dialoguer avec un rééduqué quand quelque chose ne me convient pas et donc le corriger. »

« Tu reprends la position initiale à genoux ! Tu restes à genoux, tu courbes ton dos et tu diriges tes bras vers l’avant mains vers le sol, bras bien tendus. Tu écartes tes fessiers, si tu étais pieds nus tes tatouages plantaires seraient visibles, c’est pour cela que tu as été tatoué à cet endroit. Tu colles ton visage sur le tapis en appliquant bien le nez sur le sol et tu gardes la position 5 minutes pour t’en imprégner. Il t’arrivera souvent d’être placé dans cette position que je nomme POSITION DE PRIERE. Lorsque je te convoque tu dois te placer ainsi devant mon bureau et m’écouter. C’est aussi l’une des positions que j’impose lorsque je place mon rééduqué en cage de discipline au frigo lorsqu’il est attaché et cagoulé. D’autant plus nécessaire qu’en général je règle le plafond de la cage assez bas. pour empêcher le rééduqué de bouger. Tu auras bien l’occasion d’y aller autant te prévenir. «

« Tu te redresses et tu conserves les jambes comme elles étaient. La position AUX PIEDS est très importante. A chaque fois que j’annonce « aux pieds » tu dois venir embrasser l’extrémité de mes chaussures ou de mes pieds , cela doit être un véritable automatisme chez toi. De la même manière chaque matin et à ma première apparition tu dois t’y précipiter. Tu dois ainsi remercier ta rééducatrice pour les efforts qu’elle fait pour toi. D’autre part lorsque je dis « aux pieds » tu dois littéralement tomber à mes pieds et ne pas mettre une minute à prendre la position, je serai extrêmement attentive à ça avec toi, tu as trois ans pour comprendre et adhérer au fait que tu n’es qu’un déchet face à une femme déesse ».

» Ici face à moi position accroupi pieds bien à plat mains sur la tête et tu me regardes en levant légèrement la tête. Avec moi c’est la position STATION DE DRESSAGE. C’est une position de discipline que j’utilise beaucoup. Maintenant tout en conservant la même position tu vas te déplacer jusqu’au mur qui est là à ta droite à 15 mètres et tu ne traines pas des pieds, je souhaite voir tes pieds qui se décollent bien du sol et des fesses qui bougent. Au coup de sifflet tu démarreras. C’est très important, c’est la MARCHE DE DRESSAGE car lorsque tu iras en salle punitive suite à des sanctions tu devras t’y rendre en marchant comme cela pour bien montrer aux autres rééducatrices et aux détenus que tu es puni et je te souhaite souriant car les sanctions sont là pour que tu progresses. Ensuite arrivé au mur tu me fais un demi tour et tu reviens. Attention !!! départ. Quand tu es au niveau du mur tu ne t’arrêtes surtout pas tu fais demi tour et tu reviens !!! Voilà et en marchant tu me regardes avec un beau sourire !! Très bien !! Tu vas me faire un second aller retour pour que je sois certaine que tu as bien compris. Tu ne lèves pas assez les pieds, attention !!! ça ne va pas !! »

Tout en se déplaçant Michel imagine que son ex épouse traverse la chaussée un jour de pluie et qu’il se trompe entre frein et embrayage d’une voiture qu’il n’a plus par ailleurs le droit de conduire… 

Clara corrige sans arrêt la position de son rééduqué à l’aide de sa grande perche en bois. Quand Michel termine l’exercice, Clara indique qu’elle n’est pas satisfaite et décide de lui faire réviser le dernier exercice en mode statique devant elle jusqu’à obtenir ce qu’elle souhaite.

« Tu n’as pas compris, ça ne me convient pas. On va donc travailler en statique, tu te places face à moi et toujours dans la même position. Je donnerai la cadence en claquant des mains, tu dois suivre le rythme que je vais t’imposer. Tu penses à bien lever les pieds et à bouger les fesses. Le rythme est important, avec moi cela compte beaucoup. »

Pendant 30 minutes, Michel est contraint de rester accroupi en marchant sur place. Clara donne la cadence en claquant dans ses mains. Michel est exténué. Quand Clara dit STOP !! c’est que quelque chose ne va pas, Michel a alors droit à cris et à des menaces de sanctions, puis la marche reprend et à différents rythmes. STOP à nouveau pour lui dire de lever les semelles du sol. On sent que Clara n’est pas satisfaite. Ensuite Michel est interrogé sur la position corrective, la position de prière, pour vérifier s’il a bien enregistré. Michel supporte mal le plug imposé, il ressent une douleur assez forte d’autant qu’il a fait beaucoup d’efforts physiques. Mais il sait qu’il n’a pas intérêt à se plaindre cela pouvant lui couter très cher. Clara informe son rééduqué qu’il n’a pas la moyenne et que donc il est sanctionné. Il apprend que l’ensemble des sanctions comptabilisées depuis son arrivée seront traitées le lendemain en salle de discipline. De plus cet entrainement est à reprendre à zéro jusqu’à la perfection.

L’entrainement en question est épuisant et le contexte devient terrible  avec cette femme qui maintenant hurle sans cesse sur ce pauvre homme très fatigué après plus de cinq heures de saut en hauteur au dessus d’un élastique qu’elle place de plus en plus haut. Il y a cinq minutes il a fait une malencontreuse chute sur le tapis de réception manquant de se fracturer un membre et a pris aussitôt 10 coups  de cravaches sur les fesses et une sanction à venir sur son cahier de discipline. Avec un fessier déjà marbré devenu violet extrêmement marqué il reprend aussitôt l’entrainement sous l’oeil amusé de sa rééducatrice et de Clara. Michel aperçoit de loin la cravache posée sur une chaise, elle comporte un fin fil d’acier bien enroulé à son extrémité. L’homme marche courbé, au bord de l’évanouissement. La rééducatrice semble satisfaite puisqu’elle annonce avec le sourire : 

« Je vois que ma cravache préférée a fait son effet car tu as pu sauter les 10 cm de plus que j’ai imposés. Quand tu auras été opéré tu seras plus léger tu sauteras mieux car ta poche à couilles ne touchera plus l’élastique.. Encore 30 minutes d’entrainement me paraissent nécessaires et ensuite tu auras droit à ton alimentation et en cellule !! On recommence demain matin à 8h pendant 3 heures et tu vas encore t’améliorer j’en suis certaine avec le même régime au plan de la discipline. Je vais te faire transpirer !! Pour tes manquements et comme bonus punitif tu es privé de douche cette semaine, tu resteras dans ta crasse et ta puanteur ».

Le rééduqué n’a d’autre choix que de dire « Oui Cheffe  Merci Cheffe » et il reprend son entrainement tête basse.

Michel apprendra plus tard que cette rééducatrice se trouve être en compétition serrée avec Clara pour obtenir une promotion d’inspectrice en Cheffe. Quelques mois plus tard Michel apprendra aussi que ce détenu a été placé chez une femme dominante, haut fontionnaire de l’OFG, habitant en ville pour un poste à demeure comme esclave domestique castré, la hiérarchie jugeant qu’il était maintenant assez bien rééduqué pour un placement. Il apprendra donc aussi que l’homme a bien été préalablement castré chirurgicalement par la doctoresse, un mois avant son départ du centre devenant ainsi un vrai soumis esclave totalement inoffensif. Pour chaque castration la direction fait afficher sur un grand tableau situé près des cellules, les décisions prises par l’encadrement tant pour annoncer celles réalisées que celles à venir ce qui a pour effet de totalement terroriser les détenus quand ils découvrent par exemple que dans trois mois en voyant leur matricule inscrit, ils seront à leur tour castrés. En face de chaque ligne la photo du sexe de chaque détenu concerné. Certains le sont pour motif disciplinaire si les notes annuelles ne sont pas satisfaisantes, d’autres le sont car ils vont bénéficier d’un placement chez une Maîtresse en ville, ce qui revient à reprendre sa liberté, mais quelle liberté ! La plupart du temps cloitré dans un appartement avec interdiction formelle de sortir, contrôlé et géolocalisé. De plus en travaillant 16 heures ou 17 heures par jour à un rythme effroyable et sans aucune journée de repos. Michel apprendra par un compagnon de cellule qu’en fin d’année trois détenus ont symboliquement été castrés le 31 décembre à 17h sur décision de la Cheffe d’unité particulièrement attentive à la régularité des castrations. Elle n’avait pas atteint son quota annuel. Même certaines Cheffes ont trouvé cela un peu exagéré mais sans vraiment afficher leur point de vue.

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