Un dimanche en suspension

C’était un dimanche un peu gris et frais qui donnait envie de rester coucher au chaud à la maison. C’est ce qu’avaient fait Margot et Tom. Grasse matinée. Levés vers 11h ils avaient pris un copieux petit déjeuner dans la véranda, essayant de se régénérer aux quelques rares rayons de soleil qui arrivaient à se frayer un passage au travers des nuages . Ils en profitèrent pour imaginer les activités qui occuperaient ce qui restait de la journée.
Margot pensait faire un peu de rangement dans son bureau et effectuer quelques recherches sur le net pour son boulot. Tom pour sa part comptait bouquiner tranquillement et peut être regarder un film plus tard dans l’après midi.
Margot partit d’un pas peu enthousiaste rejoindre son bureau. Tom l’imita pour se diriger vers la bibliothèque. Son idée était de relire – L’ enfant lumière- de Stephen King, mais en parcourant les étagères pour trouver ce qu’il cherchait son regard fût attiré par une BD de John Willie. Il ne la prit pas. Il la connaissait par cœur. Par contre cela créa chez lui une émotion certaine qui lui donna quelques idées pour égayer son après midi ainsi que celle de Margot. Ni une ni deux il partit récupérer une sacoche qui contenait de quoi pimenter les heures à venir.

Muni de sa sacoche il entra dans le bureau de Margot. Il la trouva classant des dossiers éparpillés sur sa table de travail. Le voyant arriver avec son « équipement » Margot comprit en une fraction de seconde que son après midi serait beaucoup plus excitante que prévu. Tom posa sa sacoche sur la table et commença à l’ouvrir Margot qui avait cessé toute activité le regardait d’un air amusé et l’œil pétillant.
« Tu sais Tom, il faut vraiment que je mette un peu d’ordre »
Tout en l’ attirant à lui, il lui répondit que ce n’était pas un problème et qu’elle pourrait continuer de ranger en intégrant juste quelques petites restrictions. Sans ajouter un mot, la mettant face à lui, lentement il fit descendre la glissière de son haut de jogging qui finit par tomber mollement sue le sol. La caressant légèrement il lui retira aussi son pantalon pour la laisser en soutien-gorge et petite culotte… très sexy. Sans bouger, Margot avait profité pleinement de ce tendre ‘‘ déshabillage’’

Tom retira de la sacoche une paire de menottes qu’il passât aux poignets que Margot, docile et prévenante lui présentait. Elle les accueillit avec un frisson de plaisir. Ensuite il passa un bracelet de menotte seulement muni d’un anneau à une de ses cheville et en fit de même avec la seconde, puis lui écarta les jambes d’un petit mètre. Pour finir il fixa une chaîne aux menottes de ses poignets, la fit passer par l’anneau d’une cheville, puis de l’ autre et remonta la chaîne pour la fixer aux menottes de ses poignets qu’elle tenait à auteur de sa culotte. La chaîne formant un triangle. Ce principe avait pour effet que quand Margot voulait marcher elle devait écarter ses chevilles, ce qui l’obligeait à baisser ses poignets et quand elle voulait remonter ses mains jusqu’au niveau de ses seins, elle devait serrer ses chevilles. C’était simple et cela ne l’empêchait pas de continuer son rangement en organisant un peu ses mouvements.

« C’ est mieux comme ça ! Non ? » lui dit il en l’ embrassant sur les lèvres. « Tu es libre de reprendre ton activité ».
« Oui, beaucoup mieux mon chéri », répondit elle d’une voix suave placée un peu dans les graves.
« Je laisse la sacoche dans ton bureau…. Tu sais que tu n’ as pas le droit d’y toucher !
– Je sais…. Mais peut être qu’ il faudra que tu me surveilles un peu….
– Je ne suis pas loin, lui dit Tom en sortant du bureau de Margot. Profite bien de ton après midi ma chérie ! »
Tom décida finalement de se replonger dans la BD de Gwendoline. Ça ne pouvait faire que du bien.

Resté seule, Margot reprit son rangement. Tirant sur ses poignets ou écartant ses chevilles suivant ce qu’elle voulait faire elle se sentait bien. Bien sur le classement n’allait pas vite, mais finalement cela n’avait pas beaucoup d’importance. Tout se passait bien jusqu’à l’ instant où elle voulu placer une petite pile de dossier sur un étagère qui s’avéra être un peu trop haute par rapport à la longueur de sa chaîne. Du coup au lieu de finir sur l’ étagère, la pile de dossiers finit par terre. En tombant les dossiers s’étaient ouverts et leur contenu s’était dispersé sur le sol. Margot du se mettre à 4 pattes pour rassembler les feuilles éparpillées. Au bout d’un moment, écarter ses jambes, resserrer ses jambes, tirer sur ses poignets, son enchaînement commençait à lui provoquer des ondes délicieuses. Margot se dit qu’il était temps de faire une pause. Agenouillée elle se caressa les seins, pinça légèrement ses tétons. Ses mains glissèrent ensuite le long de son corps pour caresser l’intérieur de ses cuisses, mais sans toucher à son sexe, ou vraiment par maladresse. Son corps s’était mis à onduler sensuellement. Elle poussait de petits gémissements. Hmmmm ! c’ était bon. C’est alors que l’idée lui vint d’aller un peu plus loin. Elle se redressa, avança jusqu’à la sacoche et commença à farfouiller à l’intérieur, où il faut bien reconnaître que c’était un peu le bordel. A force de chercher en essayant de faire le moins de bruit possible, elle finit par trouver ce qu’elle cherchait. Mmmm ! Sauvé ! Un gode vibro.

Tom qui n’était pas très loin eu son attention attirée par de petits bruits qu’il trouva rapidement suspects. Il abandonna Gwendoline et s’approcha sans bruit du bureau. Se tenant en retrait de l’encadrement de la porte il pouvait observer Margot sans être vu. Et ce qu’il vit le combla de plaisir. Margot s’était agenouillée dans un coin de la pièce et caressait son corps avec le gode, l’ intensité du vibro au minimum…. à cause du bruit ! La sensualité débordante de Margot avait plongé Tom dans un état d’érection avancée. Tom l’observa un long moment, puis comprenant qu’elle était sur le point de se pénétrer le sexe il décida d’intervenir. Il pénétra dans le bureau, passa par la case sacoche, prit une nouvelle paire de menottes, s’approcha de Margot qui plongée dans son plaisir ne s’était rendu compte de rien. Il lui retira d’un coup le gode des mains. Margot sursauta, avec un Haaaa ! bref.
« Qu’ est qu’ on avait dit !? »

Margot se débattit un petit peu essayant au passage de récupérer le gode et poussa un petit cri quand Tom la coucha sur le côté, saisit ses coudes, les rapprocha dans son dos et les menotta. Les coudes menottés, Margot était complètement bloquée. Elle ne pouvait plus déplacer ses poignets. Margot gémit et gémit encore quand elle sentit une autre paire de menottes entraver ses chevilles. Margot gigotait.

« Tu as vu la pagaille que tu as mis dans le bureau !! je reviens dans une heure, j’ espère que tu auras tout rangé ! » Puis il alla retrouver Gwendoline. Menottée de la sorte il n’ était plus question qu’elle se remette debout. Elle s’avança vers les dossiers jonchant le sol sachant très bien qu’ elle ne pourrait jamais les ramasser et à plus forte raison les ranger. Mais cela lui donnait l’occasion de se tortiller comme une anguille. Se sentir prisonnière de ses menottes augmentait encore son plaisir. Elle poussait des gémissements à chaque contorsion. Elle se fit même rouler sur elle même. Que du bonheur se dit elle.

Quand Tom revint, il la trouva au milieu des dossiers répandus autour d’elle, avec dans une main, une feuille qu’elle avait pu tout de même réussir à ramasser.
« C’est ça que tu appelles ‘‘ranger ton bureau’’ ??!! lui dit il
– Ha !! tu trouves que c’est pas bien rangé ?!
– Je vois ! reprit il. »
30 secondes plus tard elle se retrouva avec un bâillon boule dans la bouche. Ses gémissements maintenant étouffés ses contorsions redoublèrent. Tom s’accroupit à coté d’elle et entreprit de la pétrir sur tout le corps ce qui déclenchât une déferlante de tortillements et gémissements dans toutes les tonalités. Bref elle se régalait ! et lui aussi.
« Qu’est ce que je vais bien pouvoir faire de toi ?? »
Ces mots sonnèrent aux oreilles de Margot comme autant de promesses délicieuses. Elle baragouina quelques mots inintelligibles et son corps se tendit comme un arc accompagné d’un hummmmm ! long et langoureux.

Tom la mis debout. Retira les menottes les plus serrées de ses chevilles pour qu’elle puisse marcher. Il lui retira ensuite son soutien-gorge. Il mit des pinces reliées par une longue chaîne à ses tétons et l’incita à avancer par à-coups la tirant par la chaîne. Margot faisait de petits pas, faisant cliqueter ses chaînes et poussait de petits cris aigus chaque fois que Tom tirait sur la chaîne de ses tétons. Il l’entraîna comme ça à travers les couloirs et la terrasse jusqu’à une petite dépendance toute proche. La dépendance était une petite pièce de 4 m x 4 environ. Rustique. Les murs en pierres apparentes et des poutres au plafond. Très inspirante et très pratique. Ils l’avaient aménagé en fonction de certains de leurs ébats. Arrivés dans la pièce Tom plaça Margot à l’aplomb d’une poutre. Plaça une cale en bois d’une dizaine de centimètres sous ses talons et fixa la chaîne retenant ses tétons prisonnier à un crochet de la poutre… bien tendue. Ses tétons tirés vers le haut et ses talons posés sur la cale, les mouvements de Margot étaient extrêmement limités. Bien entendu Margot ne pouvait pas s’empêcher de faire onduler son corps et par le fait tirait sur les pinces de ses tétons . On ne se refait pas !

Pendant ce temps Tom avait passé une longue corde de chanvre sans un anneau fixé à une poutre un peu plus loin. Il avait également préparé plusieurs cordes qu’il avait posé sur une petite table toute proche et disposé au sol une sorte de marche pieds en bois d’une trentaine de centimètres de haut. Grosso modo de la dimension d’un parpaing. Les préparatifs terminés Tom prit une longue corde et vint se placer derrière Margot toujours suspendue par ses tétons. Tom positionna la corde sur la base de la nuque de Margot, puis fit passer la partie droite de la corde sous son aisselle droite et la partie gauche de la corde sous son aisselle gauche. Il croisa la corde dans son dos au niveau des omoplates et recommença dans l’autre sens.. Aisselles, nuque, aisselles … il fit le tour 3 fois pour que cet harnachement soit à la fois solide et confortable. Il réunit ensuite les cordes qui passaient sur la nuque de Margot et celles qui passaient au niveau de ses omoplates et les noua ensemble solidement. Chaque tour de corde et chaque serrage n’avaient pas manqué de provoquer chez Margot des ondes de plaisirs et gémissements.
La préparation du buste de Margot terminée il lui retira les pinces de ses tétons…(petits cris). Il retira également la chaîne qui joignait encore les menottes de ses poignets à ses chevilles ainsi que les bracelets qui enserraient ses chevilles…. Elle était presque libre !

Pendant ce temps il n’avait pas eu de dialogue. Tom faisait ce qu’il avait à faire. Point. Pas de question, pas d’ interrogation, pas de doute. Margot se laissait ficeler en prenant juste beaucoup de plaisir à être manipulée de la sorte. Tom la dirigea vers le petit « marche pieds » sur lequel il la fit monter. Marche pieds dont la qualité première n’était pas la stabilité. Margot s’en rendit compte tout de suite et fit le moins de gestes possible. Tom attrapa la corde qui pendait du plafond et l’attacha dans le dos de Margot aux cordes qui étaient déjà installées. Il tira ensuite sur l’autre extrémité de la corde qui passait par l’anneau de la poutre. La tendit au maximum et la bloqua à un autre anneau fixé au mur.

Les poignets menottés sur son ventre, les coudes menottés dans son dos et le haut de son buste ligoté Margot sentit son corps s’étirer sous la tension de la corde qui la maintenait en équilibre.
Tom lui retira sa culotte avant de lui croiser les chevilles, jusqu’alors libre de toute entrave et les ligota dans cette position. L’équilibre de Margot devint encore plus précaire. Pour finir il la ligota au niveau des genoux. Le tout bien serré.
Margot gémissait totalement nue. Tous les membres entravés de cette façon à peine posé sur le marche pieds, elle savait qu’elle risquait à tout moment de le faire basculer et de se retrouver suspendue. L’idée de perdre pieds créait chez elle une petite appréhension très excitante. Pour l’ instant elle se contentait d’onduler voluptueusement du bassin sans pouvoir contrôler le ballet sensuel de ses mains menottées. Elle était belle, désirable et totalement offerte.

Tom se plaça derrière elle et commença à lui caresser les seins. Ses doigts glissaient sur la peau douce et soyeuse de sa poitrine. Au contact de ses doigts Margot se mit à haleter doucement. Tom continua mettant un peu plus de pression sur ses rondeurs appétissantes, puis il passa à ses tétons. Ses mains descendirent, rencontrèrent celles de Margot et leurs doigts s’entremêlèrent passionnément pendant qu’il lui léchait le cou ; Son attention se porta ensuite sur ses fesses qu’il caressa puis malaxa à deux mains.
Margot profitait de chaque minute, de chaque seconde des attentions de Tom. Son corps était envahi de vagues chaudes délicieuses. Elle en frémissait, les yeux clos laissant aller sa tête en arrière.

Puis doucement Tom s’écarta d’elle pour prendre un martinet aux longues lanières de coton. Il fit d’ abord glisser les lanières sur ses seins puis commença à les fouetter. Sous la douce morsure des lanières Margot était agitée de soubresauts, alternant halètements, gémissements et petits cris. Tom accentua la pression du martinet. Margot sursautât et faillit glisser du marche pieds. Elle se récupéra de justesse.
Tom continua. Elle faillit perdre pieds une deuxième fois. Elle était de plus en plus excitée. Alors Tom changea de coté et s’occupa des ses fesses. Au premier coup de martinet Margot laissa échapper un Haaa ! bref et faillit la déséquilibrer. Le second coup fut accueillit par un autre Haaaa ! plus fort. Puis un troisième, un quatrième….. un neuvième… A ce stade Margot ne contrôlait plus rien. Son corps gigotait de plus en plus et elle avait faillit à plusieurs reprises faire tomber le marche pieds. Au dixième coup donné un peu plus fort par Tom, la contorsion de son corps fût plus violente et lui fit cette fois perdre pieds.
Le marche pieds tomba à sa dernière ruade et s’éloigna d’ elle. Maintenant suspendue elle gigotait et se balançait comme un pantin au bout de ses ficelles.

Tom avait abandonné son martinet et la faisait tourner lentement sur elle même, lui remontait les jambes. Lui claquait tantôt les seins, tantôt ses cuisses ou ses fesses. Son corps se tendait, se cambrait ou se détendait selon le traitement infligé par Tom à son corps supplicié. Sa respiration s’était accélérée, ses halètements devenus plus forts et plus rapprochés.
Pendant que Margot se contorsionnait au bout de sa corde, Tom lui ligotât une cheville, passa la corde à l’anneau auquel était déjà suspendu Margot et tira jusqu’à ce que sa cheville arrive à la hauteur des ses fesses. Peut être même un peu plus haut.
Margot toujours bâillonnée poussait des Hmmmmm ! à répétition. Tom fit de même avec la seconde cheville. Cette position la fit se pencher légèrement vers l’avant. Ne s’arrêtant pas là Tom attacha les genoux de Margot cuisses bien écartées à deux montants situés à droite et a gauche d’elle.
Dans cette position, suspendue et les cuisses bien ouvertes Tom reprit son martinet et cette fois lui fouetta le sexe…. par petits coups. Une fois, deux fois…. dix fois….. Margot poussait des sortes de grognements étouffés en se débattant de ses liens comme elle pouvait. Cela faisant longtemps qu’ il ne lui avait pas traité la chatte de la sorte… C’ était toujours aussi bon !

Délaissant une nouvelle fois le fouet, Tom s’approcha de Margot et s’installa devant elle. Margot le regardait libérer son sexe tendu de l’emprise de son slip et ne pu empêcher son corps d’onduler langoureusement devant cette promesse muette mais explicite. Automatiquement sa respiration devint plus forte et sa poitrine se soulevait plus arrogante encore. Quand Tom lui retira son bâillon elle pensa qu’il allait lui fourrer la bouche, mais à sa surprise Tom se colla à elle lui glissa son sexe dans la main.
Elle était à la bonne hauteur pour ça. De sa main menottée Margot saisit la verge offerte et gonflée. Elle entama un va et vient sur sa bite prête à exploser…. « Doucement » lui dit il… « Doucement ! »
Elle continua en lui pressant le gland… Puis descendit jusqu’à ses couilles, les malaxa, les pressa puis recommença à le branler doucement.
Elle adorait s’occuper de son sexe en étant menottée. Elle regrettait juste de ne pas pouvoir le prendre à deux mains. Son autre poignet était bien trop loin pour que ce soit faisable. Mais c’ était bon quand même, surtout quand elle était obligée de tirer sur ses menottes lorsqu’elle sentait sa queue lui échapper des doigts.
Pendant que Margot s’ afférait sur son sexe Tom « torturait »consciencieusement ses tétons. Cet échange dura un long moment. Tom du faire beaucoup d’ efforts pour ne pas se vider dans sa main.

Frustrée, depuis que Tom l’avait surprise dans le bureau pendant qu’elle prodiguait à sa chatte quelques traitements savoureux, Margot, avait atteint un point d’excitation extrême. Son ventre était en fusion, son sexe en feu surtout depuis qu’il avait été soumis au châtiment merveilleux du fouet.
Elle haletait, gémissait, suffoquait. Elle aurait voulu pouvoir venir au secours de sa chatte dégoulinante. Elle aurait voulu pouvoir malaxer son clitoris….. Elle aurait voulu !
Mais ce n’ était pas possible ! Accaparée par toutes ses émotions, elle sentit plus qu’elle ne vit Tom s’échapper de sa main et se diriger vers la porte.
Cet abandon manifeste, provoqua chez Margot une réaction instinctive. Tout son corps se contorsionna, s’agitant de façon désordonnée mais expressive et poussa un Nooonnnn !! de frustration et de protestation. Se ressaisissant elle lui lança de sa voix suave mi espiègle, mi salope, un peu hachée par ses halètements.

« Tu ne vas pas t’en aller comme ça. Tu ne vas pas partir en laissant une femme enchaînée et ligotée sans profiter de cette situation. Tu ne vas pas disparaître sans user et abuser de cette femme sans défense qui ne peut s’esquiver ni s’opposer à ce que tu la baises, que tu lui fourres sa chatte et son cul de ta bite. »
Tom entendant son discours s’était arrêté dégustant chacun de ses mots. Il se retourna et revint vers elle.
Margot ne saura jamais si Tom avait prémédité un faux départ pour déchaîner ses désirs. Mais Margot s’en foutait. Ce qui comptait pour elle était que son stratagème ait fonctionné. Peu importe de savoir qui avait manipulé l’autre. Seul le résultat comptait.

Tom revenait vers elle. Calmement, sans un mot il alla se poster derrière elle entre ses cuisses d’où il contempla son bassin envahi d’une forte tempête intérieure onduler frénétiquement.
Il laissa passer quelques minutes pour faire encore monter la pression puis d’un geste précis il lui plaqua la main sur sa chatte détrempée et pressa fortement son clitoris. Sentant la main de Tom lui écraser sa chatte elle lâcha un cri rauque et poussa tant qu’elle put sur son bassin pour accentuer encore la pression sur son sexe. Elle se frotta contre ses doigts comme une chienne en chaleur. Tom en profita pour l’ enfouir de ses doigts qui lui fouillèrent longuement son vagin. De temps en temps de sa main libre il lui claquait les fesses. Ses doigts dégoulinant de sa mouille s’éloignèrent de sa chatte et vinrent s’enfoncer dans son anus.

La bouche grande ouverte, Margot cria de plaisir « Encule moi ! » réussit-elle à dire entre 2 halètements. « Bourre moi le cul de ta bite. Je veux la sentir au plus profond de moi. Viens ! viens ! prends moi le cul ! »
Tom eu pitié d’elle et s’ exécuta. Il posa son gland sur son orifice bien ouvert et il poussa. Sentant sa bite la pénétrer ses cuisses se mirent à trembler. Ses halètements étaient entrecoupés de Ouiii !…….Ouiii !…….. Plus la bite de Tom s’enfonçait dans son cul plus les Ouiii ! se rapprochaient les uns des autres.
Tom sentait qu’elle était proche de jouir. Alors il poussa encore plus loin. Tout le corps de Margot fut secoué comme si elle recevait des décharges électrique.
Elle cria sous l’intensité du courant qui la transperçait et les Oui ! devinrent de plus en plus proches jusqu’a ne former plus qu’ un seul cri…. Long….. presque animal.
Tom ne lui laissa pas de répit.
Il se retira de son cul et immédiatement lui fourra sa chatte. On aurait dit que Margot était au bord de l’asphyxie. Les Oui ! Oui ! reprirent avec la même intensité…. sa jouissance continuait. Tom accéléra son va et vient jusqu’à ce que le corps de Margot rassasié de plaisir s’affaisse… Pantelant. Alors, seulement, Tom se vida en elle.
Quand Tom l’embrassa tendrement sur les fesses elle eut encore quelques soubresauts puis ne bougea plus !

Tom se rhabilla vaguement et détacha Margot pour la faire revenir sur terre. Au sens propre comme au sens figuré. Mais elle ne voulu pas qu’il lui enlève les menottes.
C’ est donc nue, poignets et coudes toujours menottés qu’elle regagnât la maison en compagnie de Tom.
« Je crois que j’aurais besoin d’ une bonne douche, » lança-t-elle l’ air de rien ! En regardant Tom d’ un air malicieux. Tom reçu le message 5 sur 5…
« Passe devant je te rejoins dans la salle bain. Je n’en ai pas pour longtemps. »
Tom fit un détour par le bureau et pour y récupérer une paire de menottes. Quand il la rejoint il la trouva détendue et souriante assise sur le rebord de la baignoire. Avant un « nettoyage » bien mérité, ils s’embrassèrent longuement et amoureusement…. Que du plaisir.
S’arrachant des lèvres de Margot Tom fit couler l’ eau de la douche… ni trop chaude, ni trop froide. Comme elle aimait. Il la fit ensuite entrer dans la baignoire, l’agenouilla et lui menotta les chevilles.
« J’avais peur que tu ais oublié !
– Aucun risque ! ». Répondit Tom qui, muni de la pomme de douche commençait à faire couler l’eau sur les cheveux.
Margot mit la tête en arrière et apprécia la douce caresse de l’eau tiède. Une fois sa chevelure bien trempée Ton lui fit un shampoing en prenant bien soin de lui masser le crâne, la nuque et les tempes.

Margot les yeux clos, respirait paisiblement. Totalement détendue, profitant pleinement des bienfaits des doigts de Tom. Elle aurait voulu que cet instant soit infini. Mais Tom finit par lui rincer les cheveux. Il fit ensuite couler l’eau sur tout son corps et poursuivit en la faisant se relever. Une fois debout Tom la savonna en partant de son cou. Le savon qui glissait sur sa peau était une douce caresse. Le cou…. les épaules….les bras….les seins…. Il la fit pivoter pour lui savonner le dos et les fesses puis la remit face à lui pour continuer par son ventre…. Ses cuisses…. ses jambes… jusqu’à ses pieds. Puis remonta pour s’occuper de son entrejambe.
Margot frémit au contact du savon sur son sexe et poussa un Hummmmm ! de bien être. Quand Margot fût entièrement couverte de mousse, Tom reprit depuis le début, mais cette fois ci avec ses mains apportant une attention particulière à ses seins et un peu plus bas en insistant sur la raie de ses fesses et les lèvres de son sexe… En même temps. Une main devant. Une main derrière.

Margot dont le corps ondulait sensuellement en frissonna de plaisir. Sans trop s’attarder, Tom descendit jusqu’à ses orteils. Margot aurait bien aimé aider Tom dans sa tâche, mais tel qu’étaient menottés ses poignets, elle avait à peine la possibilité d’effleurer le bas de ses seins avec le bout de ses doigts. Mais elle essaya tout de même !

Après ce savonnage minutieux, Tom mis la position « massage » sur la pomme de douche, augmenta la pression et élimina le corps de Margot de sa mousse savonneuse avec ce jet lourd et puissant. Quand le jet arriva près de son bas ventre, Margot écarta les cuisses pour que sa chatte profite au maximum du massage de l’eau. Elle adorait ça !
« Huùmmmm! C’est bonnnnnn ! » soufflât elle. Offrant sa chatte à la pression de l’ eau. Puis Tom finit son ‘‘ rinçage’’. Coupa l’ eau, posa la pomme de douche et prit une grande serviette de bain pour la sécher.

Il commença par les cheveux et frotta lentement tout son corps. Une fois sèche Tom la prit dans les bras pour la sortir de la baignoire et l’assit sur le rebord.
Elle le regardait préparer ce qui allait être la touche finale de sa toilette. De la mousse à raser et un rasoir.
Elle le laissa lui écarter les cuisses grandes ouvertes. Quand Tom badigeonna de mousse les pourtours de son sexe avec les doigts, sa respiration devint plus profonde. Elle ne quittait pas ses mains des yeux. Regarder Tom s’occuper du rasage de son sexe l’excitait et lui provoquait des ondes délicieuses de profond bien être.
Puis Tom passa le rasoir sur sa peau délicate jusqu’à ce que son sexe soit parfaitement lisse et doux comme de la soie.
Il lui rinça longuement son entrejambe avec une éponge imbibée d’eau tiède et …. se mit à lécher sa vulve.
Au contact de la langue de Tom, le plaisir de Margot monta d’un coup et se mit à haleter et quand Tom lui suça le clitoris elle jouit voluptueusement dans râle extatique.

1 réflexion sur “Un dimanche en suspension”

  1. Récit délicieux, j’ai adoré. C’est avec plaisir, et en me tripotant, que j’ai lu cette page SM avec deux êtres complices.

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