Les aventures de Shawn : Mission en France

1770

De retour de Shannon, à 21 ans, elle se rend à Londres. Le ministère des Affaires Étrangères la reçoit :

– Marquise, Benjamin vous a recommandé comme interprète pour une mission diplomatique. Vous y irez dans une école linguistique pour parfaire votre allemand, votre espagnol et votre italien.

Elle y reste trois mois.

Le roi George III, appuyé par le doyen de la Pairie, ami de Benjamin, qui a fait exécuter et condamner ses tortionnaires, choisit de l’envoyer en France.
Elle devient Lady Shawn de Richmond. Son charme et sa grâce font d’elle un atout pour le royaume.
Un mystérieux informateur, un ennemi d’Arpad, surprend la conversation et la transmet à Versailles. Le comte Christophe, un ami d’Alban, entreprend son enquête sur sa nouvelle victime, avec le cabinet noir ou Secret du roi. C’est lui qui a racheté les deux domestiques noirs de Benjamin et les a confié à un présumé institut religieux, qui se trouve être un donjon où règne les maîtres et les esclaves parmi le fouet, la cravache pour les dresser.

En juin, elle arrive à cheval à Versailles, après cinq jours de relais depuis Boulogne, distant de 218 kilomètres. Son visage n’est pas inconnu des marins qui ont combattu Mermaid Shawn.
Elle se rend dans un hôtel particulier, appartenant à la mission diplomatique britannique. Les hommes de main du comte l’attendent. Elle est vêtue d’un chapeau noir, d’un pantalon avec une veste noire sur un chemisier blanc et de bottes noires, avec un chignon. Elle a une garde-robe à disposition à l’hôtel.

Elle se baigne, revêt une chemise blanche, un pantalon noir et des cuissardes, une cape avec une capuche noire, les cheveux libres, porte une épée et une dague pour sa défense. Elle part se promener à cheval.
Elle sort et désarme deux des hommes de main, qui lui entravent sa route. Ils prennent la fuite. Shawn a appris l’escrime et l’art de l’attaque.
Elle fait une halte dans une auberge où elle se restaure.
Un gentilhomme la séduit, mais elle se refuse à lui. A la fin du repas, elle quitte l’auberge, en payant son dû.
Elle se promène dans Versailles, se rend chez un maréchal-ferrant pour faire soigner son cheval. Elle lui remet 500 écus pour le travail effectué. Il lui remet l’adresse d’un ami, travaillant dans la vallée de Chevreuse, qui réalise des lames de premier choix pour la cavalerie européenne, à la vue de l’épée qu’elle porte.

En fin d’après-midi, elle retrouve le maréchal-ferrant Jean, dans la banlieue campagnarde de Versailles. Il lui offre son mandrin long de dix-sept centimètres et trois de diamètre, circoncis. Shawn découvre son premier gland circoncis. Shawn ne le branle pas. Elle commence par sucer le gland, et lorsqu’il est dur, Shawn fait fonctionner sa bouche comme une chatte. Il ne tarde à éjaculer dans sa bouche et elle se délecte.

– Vous êtes une anglaise qui ne va pas chercher les détails.
Après une nouvelle fellation, Shawn se met en levrette.
– Encule-moi, Jean ! Ordonne Shawn.
Shawn se donne entièrement à lui. Il éjacule sur ses fesses qu’elle embaume, heureuse. Il lui remet 400 écus pour son hospitalité.

Elle rentre à la mission diplomatique, avant le coucher du soleil et désarme deux autres hommes de main qui lui ont tendu un piège.
Christophe sait à qu’il a faire à une fine lame, malgré le côté charmeur de la belle. Un voisin du maréchal-ferrant, un voyeur, raconte à un ami, qu’une belle s’est fait prendre par le cul et a jouit. Pour lui, cette belle doit être une fille de joie ou une perverse.

La nuit, Shawn se fait sodomiser par les domestiques de la mission jusqu’à l’orgasme.
Le lendemain, Shawn apprend la mort du maréchal-ferrant par la gazette, il se trouvait être un espion à la solde des allemands. Des rumeurs circulent sur la présence d’une fine lame féminine au regard de salope.
Shawn sait qu’elle est en danger. Le diplomate en chef l’informe :

– Marquise, vous devez gagner la province pour une durée indéterminée.

Une calèche la conduit à Amiens, distant de 122 kilomètres. En chemin, elle fait la connaissance du hussard Louis-Marie du régiment de hussards Nassau-Sarrebrouck, un ami d’enfance d’Arpad, qui lui jure protection et fidélité.
A Amiens, elle vit dans la campagne, comme fille au pair du hussard. Elle fait l’amour avec lui une à deux fois par jour. Nul ne connaît son identité. Louis-Marie lui apprend :

– Un mystérieux marquis sévit dans la région à la recherche de vierges et de jolies femmes. Certaines sont découvertes mortes, violées et celles qui ont échappé à ses hommes, sont en exil. Elles portent sur la fesse droite, le M entrelacé dans S, au fer rouge, sont imberbes et ont subi des sodomies lors de leurs viols, le fouet et la cravache, certaines portent des bagues avec les mêmes initiales. Il fait partie de la légion de Flandres.
Shawn sait qu’un ami d’Alban sévit dans la région et qu’elle doit lui échapper, pour ne pas connaître les mêmes sévices.

A la fin août, la tension s’est apaisée à Versailles. Elle peut revenir avec Louis-Marie. Elle forme une escouade pour son escorte, composée de gentilshommes arquebusiers et d’anciens hussards qui lui font allégeance.
Christophe, aidé par des mercenaires, veut capturer Shawn. Il la fait suivre par des informateurs. Mais Shawn change d’itinéraire, scinde son escorte et soudoie les informateurs de Christophe.
Le 6 septembre, Shawn réussit à rejoindre Versailles, déguisée en homme avec une moustache, les cheveux coiffés en chignon.
Christophe est déçu par un échec cuisant, en jouant son poste auprès du roi Louis XV, comme conseiller des affaires de sécurité du royaume. Shawn a réussi à retourner ses propres pions. Les mercenaires ne veulent plus travailler pour lui, mais pour le royaume britannique, en quête de nouvelles colonies. Christophe s’est endetté et doit vendre ses résidences, ses esclaves et doit démissionner. Christophe passe six années dans le bagne de Rochefort, avant d’être exilé en Afrique australe.

Son remplaçant, Marc, un riche marquis, ami du mystérieux marquis d’Amiens, reprend les choses en main.

A la mi-septembre, Shawn a réussi une partie de sa mission diplomatique pour préparer les prochaines guerres en Europe, en nouant des contacts étroits avec des femmes de diplomates, qu’elle séduit et pervertit, qui deviennent ses amies et dépucèle leurs garçons et déniaise leurs filles.

A Londres, des échos sur le comportement arrivent auprès du chef de la diplomatie. Ils sont en partie réprimés, mais il décide la garder, sous une nouvelle couverture. Shawn devient une amie des favorites de Louis XV.

A Rambouillet, elle déjoue un complot contre une des favorites. Les complices sont un couple, dont la femme porte le M entrelacé dans S sur la fesse droite et un marquis jaloux. Ils sont arrêtés et condamnés à mort par Louis XV. Shawn sait que le mystérieux marquis la désire.

Elle assiste même au baptême d’une promotion du régiment de hussards Nassau-Sarrebrouck dont est issu Arpad. La promotion porte le nom de baptême Arpad de Savoie. Shawn offre son buste sculpté au musée du régiment avec sa fausse identité. Seuls les officiers connaissent son visage. Elle s’offre à eux pendant une semaine, sodomisée, fessée et jouant les lesbiennes avec leurs femmes pour le plaisir des maris.

Début octobre, elle est conviée à faire le tour des domaines de chasse royaux de la région parisienne et elle séjourne à Rambouillet, Fontainebleau, Maisons-Laffitte, Meudon et Marly-le-Roi, à raison de séjours de trois jours où elle assiste à la chasse et le soir, elle se fait sodomiser par de vaillants étalons lors de longues soirées d’orgies.

A la mi-octobre, à Fontainebleau, elle exécute un mercenaire, envoyé par Marc. Les valets le font disparaître dans la forêt.

Le soir, elle épie une cérémonie secrète dans un petit château isolé dans la forêt. Le mystérieux marquis d’Amiens officie avec une jeune beauté vierge, qui porte un collier de cuir cadenassé et des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles cadenassés, elle est attachée à un portique, le ventre contre une croix, les chevilles et les poignets sont attachés, une ceinture de cuir lui enserre, nue, pieds nus, coiffée d’un chignon, au centre d’une petite pièce faiblement éclairée. Le marquis la fouette sur les fesses pendant une demi-heure et alterne avec la cravache. Puis elle mise face au jury. Elle porte une cagoule qui ne laisse visible que le nez et la bouche. Un geôlier cagoulé, vêtu d’une cape, lui marque au fer rouge, le pubis épilé d’un M entrelacé dans S. L’esclave gémit, avant de subir le fouet sur les cuisses pendant une demi-heure.

Elle subit ensuite dix sodomies consécutives jusqu’à l’éreintement, avant une longue série de fellation où elle est contrainte d’avaler le sperme de ses violeurs.
Shawn, choquée, rentre au pavillon de chasse de Fontainebleau, se déshabille, se fait bander les yeux et subit six sodomies, un des étalons lui donne une bonne fessée de façon méthodique, sur une longue durée tout en la sodomisant digitalement pour la soumettre. Shawn y prend du plaisir.
Au bout de deux heures de jeux sodomites, où elle se restaure, elle reste allongée en travers d’une chaise. Une mystérieuse voix l’intrigue :

– On m’a parlé d’une adepte de jeux sodomites parmi les favorites du roi.
– La voici, monsieur. Elle aime les fessés. C’est une perverse et soumise. Elle semble avoir été éduquée chez nos précurseurs du dressage, dit un des invités.
– Une jeune marquise qui aime les fessées, la sodomie et qui plus est une lesbienne hors pair. C’est une beauté rare, perverse et vicieuse. Il me la faut pour mon domaine en Bretagne. Quel est son prix ?
– J’ai entendu qu’elle vaut 75.000 guinées, dit un autre invité.
– Je l’achète au roi pour 100.000 guinées, mon dernier prix. Elle n’est plus vierge, est soumise et dressée. Qu’on la conduise à mon domaine dès ce soir.

Shawn est levée, reste nue, pieds nus, les cheveux libres, les yeux bandés. On lui enserre le cou d’un collier de cuir cadenassé et lui fixe des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles cadenassés. Deux geôliers la mettent dans un chariot cellulaire, dans le foin. Ses poignets sont fixés au cou et ses chevilles sont fixées à des chaînes de chaque côté du chariot et elle est allongée nue, pieds nus, sur le ventre. L’escorte de Shawn a épié la scène et envoie des estafettes chercher du secours auprès des officiers des hussards. Un détachement de Royal Marines, ayant assuré sa protection, se trouvant en mission secrète à Rennes, se met en route vers le domaine du marquis pour une embuscade.

A chaque halte pour changer de relais, l’équipage la sodomise à sec et l’offre à des étalons bien membrés, en contrepartie de services.
Le soir, elle est sortie du fourgon et attend, agenouillée, les menottes fixées au cou, les cuisses écartées et la tête baissée, éreintée. Ils la nourrissent très peu et lui offrent leurs mandrins à feller et à avaler leurs spermes.
Le 18, le fourgon cellulaire croise une patrouille de la garde royale. Un des officiers flaire l’odeur de la chatte de Shawn et demande :

– Cocher, ouvrez le fourgon.

L’officier se soulage, en violant Shawn, en lui honorant les deux orifices. Il décharge sur son ventre nu.
Ce n’est que trois heures après, l’officier a cru reconnaître le physique de Shawn, grâce à son seul grain de beauté entre ses superbes seins. Il s’en repent auprès de son commandant :

– Mon commandant, je crois que j’ai abusé d’une des amies des favorites du roi.
– Officier, faites suivre le fourgon.

L’escorte de Shawn, en compagnie des hussards, profitant des haltes aux relais et à des chevaux plus frais, des raccourcis, réussit à gagner une journée sur le fourgon.
Le fourgon est signalé Saint-Calais, à 32 kilomètres du Mans. L’escorte se trouve sur la route de Nogent-le-Rotrou et Tours. Le fourgon se dirige vers Angers et Nantes. Un informateur a eu entre les mains la feuille de route du fourgon.
A Carquefou, dans la banlieue de Nantes, les Royal Marines reconnaissent un lieu pour une embuscade. L’avant-garde, composée de hussards, de gentilshommes et d’anciens mercenaires, demande à tous les relais où doit passer le fourgon de donner des chevaux en partie reposés, blessés pour retarder le trajet.
Le soir, le fourgon a ralentit l’allure. Shawn est en état de fatigue avancée, l’équipage l’abandonne sans la nourrir.

Le mystérieux marquis a rejoint La Roche-sur-Yon par une route de diversion. Mais le roi a ordonné sa capture pour l’embastiller, car il a touché à sa protégée, Shawn. Toutes les unités de la maréchaussée dans un rayon entre Paris et Limoges et Brest sont prévenues par des estafettes sur le signalement du marquis et de l’équipage du fourgon. En une journée, les messagers apportent à des postes avancés des témoignages.
Le domaine de La Roche-sur-Yon est encerclé. L’assaut est donné par les volontaires d’Aunis, qui arrêtent les occupants, libèrent les femmes presque mortes ou fraîchement violées. Les occupants sont décapités en place publique. Le marquis tente de prévenir le fourgon, mais il est arrêté à Tours, par la maréchaussée. Il est ramené à Paris pour être embastillé, dans les mêmes conditions de transport que Shawn.

Le 19, le fourgon fait une halte à Cholet. L’assaut est donné. L’équipage est tué. Shawn est libérée. Elle est soignée dans un hospice, discrètement. Les Royal Marines assurent sa garde extérieure.
Marc est arrêté pour complicité, ainsi que des membres de la cour, des proches des favorites, des nobles et des membres du clergé à travers la France pour avoir livrer des vierges et des femmes seules au plaisir des domaines du marquis.
En décembre, le marquis, lors de la veille de son exécution, en se confessant au prêtre, révèle :

– Je suis le père de Shawn de Richmond. Son vrai père est mort dans une bataille navale. J’ai été son précepteur. J’ai toujours rêvé de dresser ma vraie fille. Les anglais m’ont en empêché jusqu’à son arrivée sur le sol de France.

Ses aveux sont transmis à Versailles. Shawn ne peut nier, sans dévoiler son identité.
Elle est rappelée à Londres, après son rétablissement, accompagnée par les Royal Marines.
A Londres, elle rejoint à la mission diplomatique de France, où elle présente ses lettres de l’ordre de Malte, reconnu en France. La mission lui fournit assistance et l’envoie en France, auprès d’un hôpital de l’ordre de Malte.
Le riche noble vénitien la conduit en France, sous son aile. A chaque halte nocturne, il l’honore de son mandrin et l’offre au personnel lors de longues nuits de débauche. Elle se fait sodomiser, prendre en double pénétration, fesser et s’offre à des jeux lesbiens.
Au deuxième jour du trajet, au sud d’Amiens, le couple est détroussé. Shawn est violée par cinq étalons bien membrés, attachée à un arbre, les bras tendus en l’air, les cuisses écartées, dos à ses violeurs, nue. Ils l’abandonnent après trois heures de viol, éreintée, humiliée, les fesses rougies et méconnaissable dans une grange isolée, nue, pieds nus, les cheveux libres, les poignets et chevilles liées. Le riche noble est pendu, les chevaux sont volés et le carrosse est incendié.

Après deux jours de perte de connaissance, elle réussit à se défaire de ses liens. Elle trouve des habits de fermière dans la grange et rejoint à pied un couvent qui lui offre l’hospitalité. Elle y soignait.
Oscar, le neveu du mystérieux marquis d’Amiens a vengé le marquis. Un messager lui confie le compte-rendu du viol de Shawn et la mort de son amant.
Mais Shawn apprend lors de son séjour :

– Ma fille, une mystérieuse bande a pendu les complices du neveu et ont incendié un faux couvent qui abritait des esclaves, après avoir tué les occupants et libérant les rares survivantes.

Mais ces dernières sont exécutées par des hommes de main d’Oscar, car nul ne doit connaître le secret.
Louis XV ordonne une enquête sur les activités du défunt marquis d’Amiens. Il y apprend le dressage, l’esclavage, la soumission et l’avortement des femmes qui ont séjourné, certaines femmes ont passé plus de 15 ans sans aucun contact avec l’extérieur, sans hygiène ni visites médicales.

1771

En février, à 22 ans, Shawn rejoint l’Aquitaine et s’installe sur la côte Atlantique, comme assistante médicale.
Elle fait la connaissance de Pierre, un artiste de statues de cire. Il prend les mensurations de Shawn, nue, pieds nus. Il réalise des moules des différentes parties de son corps qu’elle offre pendant plusieurs séances.
Une fois la statue recomposée, il peaufine les détails de son corps, pour la faire ressembler à la vraie. Shawn prend des poses érotiques pour exhiber sa chatte et son anus, en écartant les fesses. Il réalise les détails du vagin pour y loger son mandrin et fait de même pour l’anus étoilé, qu’il laisse ouvert et dilaté.
Chaque longue pause est récompensée par des fellations en contrepartie de sodomies avec un mandrin long et fin qu’elle accepte au plus profond de son cul, en salope. Elle reçoit sur les six mois, 10.000 écus.
Sa statue intègre une salle secrète d’une collection sur le nu, dans un musée sur la biologie humaine.
Au printemps, elle achète une résidence dans le Bordelais, avec la vente de ses bijoux, qu’elle a hérité auprès des familles de Benjamin et de James et de la famille du marquis d’Amiens et ceux qu’elle portait au harem.

Le domestique noir d’Alban, Desire, la retrouve, devenu un maître noir du dressage, affranchi. Il sort de ses bagages, un godemichet en bois fin et long pour assouplir l’anus, fixé à une ceinture en cuir et cadenassé qu’il lui loge dans l’anus dilaté. Shawn devient prisonnière du godemichet qui la sodomise.

– Tu jouiras ainsi de mon mandrin artificiel, après m’avoir humilié devant les Ottomans.

Il la contraint à le feller, accroupie, les cuisses écartées, sans les mains. Elle le porte pendant le temps désiré par son maître. Elle réapprend à garder les yeux baissés et la tête baissée.
Bien dilaté, il la sodomise sans ménagement jusqu’à l’orgasme, la fessant magistralement pour la soumettre.
Shawn est offerte à douze étalons nus dans une cave, en une soirée. Elle subit tous les assauts dans ses orifices. Elle prend du plaisir, en les fellant et recevant leurs mandrins.
En avril, Quentin, un opposant à la soumission, tue Desire, après épié le traitement subi par Shawn. Le harnais est brûlé et Desire est enterré sous une grande barrique de vin. Shawn remet un mois à reprendre goût aux vrais plaisirs sexuels, tout en étant capricieuse, mais toujours perverse et vicieuse.
De nombreux maîtres du plaisir sadomasochiste sont embastillés et d’autres sévissent dans des sociétés secrètes, sous couvert d’institutions religieuses.
Shawn apprend que le couvent qui l’a hébergé dans les environs d’Amiens, abritait une société secrète, ainsi qu’à Cholet et à Fontainebleau.
Son nouvel amant est Sylvain, le neveu de Louis-Marie.
A Versailles, Thomas, le remplaçant de Marc, rêve de posséder Shawn.
En mai, Shawn a droit à un carrosse prêté par une des favorites de Louis XV jusqu’à Versailles.
Avec Sylvain, ils font une halte dans une auberge à Abbeville pour la nuit. Un des anciens maîtres du mystérieux marquis de la région d’Amiens la reconnaît. Il la suit, le lendemain.
Le lendemain, le couple fait une halte à Beauvais pour la nuit. Shawn est enlevée par des inconnus dans la nuit et Sylvain est exécuté.
Shawn se retrouve dans une chaise à porteur modifiée, nue, pieds nus, les cheveux libres, les yeux bandés, les poignets menottés à un collier de cuir. Elle sent son anus rempli par un godemichet anal long et fin. Elle coulisse dessus pendant le trajet et jouit. Pour la faire taire, ses porteurs et le maître l’obligent à les feller. Mais elle prend du plaisir, sodomisée.
Elle est conduite à 6 kilomètres de la ville, puis elle monte à bord d’une berline, dans les mêmes conditions, la banquette recèle un godemichet sur des banquettes. Shawn y prend goût, les poignets menottés dans le dos. Le maître et son assistant lui prodiguent de longs léchages des seins, mêlés de fellations et de caresses clitoridiennes intenses qui l’amènent à l’éreintement.

La berline rejoint Compiègne.

La favorite avise le roi :

– Le carrosse prêté pour mon amie Shawn a été aperçu la dernière fois à Beauvais.

Des officiers de la maréchaussée de la région partent à la recherche de Shawn avec un descriptif.
Peu avant Compiègne, la berline quitte la voie principale pour un chemin secondaire. Après une heure de trajet depuis Compiègne, la berline entre par une porte cochère qui est refermée ensuite.

Éreintée, Shawn est descendue nue, ses pieds sont chaussés de mules à talons de sept centimètres. Un geôlier la tire par une laisse.

Elle est conduite au pavillon de printemps, transformé en salle de vente d’esclaves. Elle se retrouve attachée à un portique, le dos contre une croix, les chevilles et les poignets sont attachés, une ceinture de cuir lui enserre, nue, pieds nus, coiffée d’un chignon. Des mains lui caressent et soupèsent les seins, sa chatte et son anus sont fouillés. Elle jouit.

– Cette femme sera dressée selon les lois en vigueur.

Une milice bourgeoise assure la protection du domaine du comte Xavier, un lointain cousin d’Alban. Toute évasion est impossible.
Après l’inspection, elle reste au domaine, dans un box d’écurie, menottée dans le dos, les yeux bandés, où elle est sodomisée sans ménagement par les amis du comte jusqu’à l’aube, nourrie de spermes.

– Alban ne m’avait pas menti sur ta soumission, esclave Shawn ! s’exclame le comte.

Après cinq jours d’abstinence, elle a droit à un repas léger par jour et à une coupelle d’eau, menottée à une statue accroupie, le mandrin en érection, qui est logé dans sa chatte. Elle y reste deux jours. Ses geôliers la sodomisent en même temps pour la soumettre, elle jouit.
Xavier est déçu d’avoir à faire à une sodomite, soumise. Il l’abandonne au bout d’une semaine.

– Je t’abandonne, esclave. Tu es trop soumise à mon goût. Tu es au-dessus des lois de mon domaine.

Elle quitte Compiègne dans la berline qui la conduite. La berline la dépose à Senlis.
Des amis de Sylvain la récupèrent. Shawn est conduite sous escorte à Versailles. Elle y raconte son calvaire aux officiers pendant le trajet. Elle ne porte aucune marque au fer comme les autres esclaves. Son caractère de soumise en fait d’elle une dominatrice.
A Versailles, dans une maisonnette, elle prend un long bain reposant et dort pendant deux jours consécutifs, mêlés de cauchemars de viols et de double pénétration par des mandrins imposants.
Ses amies lui rendent visite et elles font l’amour longuement et amoureusement. Elle les reçoit nue, pieds nus, les cheveux libres. Ses domestiques lui honorent ses orifices, lorsqu’elle est seule.
En juillet, Shawn et ses amies rendent en carrosse à Aix-en-Provence. Là, Shawn vit dans un mas isolé avec ses domestiques dans la montagne Sainte-Victoire. Elle se baigne nue dans un petit lac, ses amies la font jouir et de vaillants officiers royaux la baisent et la sodomisent lors de ses escapades. Des fois, elle invite ses amants chez elle, lors de soirées masquées où ils la détroussent et la font jouir.

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