Education Anglaise de Shawn : Aventures aux Caraïbes

1774

En février, Shawn, libérée par Mastermind, assez asservie à son goût, se rend en bateau, à Tobago, à l’invitation de Sir Charles, un de ses amants, qu’elle a fréquenté en 1767. Sir Charles a été expulsé de la Dominique en 1772.
A Tobago, au port de Friendship, elle est accueillie par Sir Charles, veuf.
L’après-midi, dans une des annexes du domaine, à Lambeau, Shawn s’offre nue, pieds nus, les cheveux libres. Elle le felle, en salope et se fait longuement sodomiser.
Shawn se retrouve en compagnie de Sir Charles et de ses esclaves. Elle entretient des relations avec les geôliers, le contremaître et sa femme, qu’elle initie à la sodomie. Sir Charles épouse une des amies du contremaître. Shawn se retrouve seule, mais elle vit dans une des annexes du domaine.
Louis XV meurt en mai et Louis XVI le remplace.

1775

En juin, lors de la saison des pluies, à Friendship, un maître blanc, venu de la Grenade, fait escale régulièrement avec son navire. Il entretient un domaine à Windsor, où de jeunes vierges sont éduquées.
Shawn descend à Friendship, vêtue d’une robe longue légère blanche, très décolletée, laissant les épaules nues, sur son corps nu, coiffée d’un chapeau, les cheveux libres. Elle y fait quelques achats pour se vêtir.
Le maître fait sa connaissance chez un bijoutier. Shawn sent sa main s’attarder sous sa jupe, effleurer ses fesses et un doigt inquisiteur se loge dans l’anus. Instinctivement, Shawn se dilate. Il lui murmure à l’oreille :

– Vous dilatez facilement, ma chère !
Le doigt entre plus profondément et la lime lentement puis plus fort. Shawn mord ses lèvres pour ne pas jouir, et s’accroche à la vitrine.
– Jouissez, ma chère, nous sommes seuls !
Shawn s’exécute. L’autre main débusque le clitoris qu’il fait ériger et deux puis trois doigts liment simultanément la chatte jusqu’à l’orgasme.
– Une femme qui jouit des deux orifices se fait rare sous les antipodes ! Vous deviez être une élève d’un dominateur français ou anglais.
– Anglais, monsieur. Continuez, j’ai la chatte et le cul en feu par vos attouchements.
– Racontez-moi votre vie, ma chère.

Shawn sort du bijoutier et monte en sa compagnie, dans un fiacre, où il continue ses attouchements jusqu’à un second orgasme, tout en racontant sa vie.
Il la conduit à son navire, ancré dans la rade. C’est un cousin éloigné de Shawn, car Shawn est naît à La Dominique, territoire français jusqu’en 1763. Shawn ne connaît pas son lien de parenté avec le maître, prénommé Sean.
Une barque les conduit à bord.

Esclave Sodomite de Sean

Dans les cales, Shawn découvre des esclaves noirs, nus, enchaînés, les uns aux autres, les femmes sont empalées par l’anus aux hommes, les corps sont zébrés de coups.
Dans le gaillard, elle est présentée à Silver, le maître de dressage, Sylvain, le geôlier en chef et Stephen, le préparateur. Silver fouette les esclaves désignés sur le pont avant, pour pénétration vaginale ou perte d’érection. Sylvain surveille les esclaves fouettés dans de petites cellules, où ils sont sodomisés par des godemichets et nourris de spermes des geôliers. Stephen prépare l’anus des nouvelles esclaves avant leur première sodomie et leur empalement sur l’esclave masculin désigné. Sean l’informe :

– Je ne voyage qu’avec 40 esclaves. Deux esclaves féminines me sont dévouées corps et âme pendant trois traversées. Shawn, déshabillez-vous.
Shawn s’exécute. Nue, pieds nus, les cheveux libres, elle parade. Le navire appareille pour La Barbade, à 150 kilomètres de Tobago.
Shawn écarte ses fesses, penchée en avant. Stephen lui fait un anilinctus royal qui la fait jouir.
– Quelle salope ! Elle dilate bien !

Stephen exhibe son gland et loge le mandrin dans l’anus, en lui écartant les fesses. Shawn se cambre pour accentuer sa sodomie et s’empaler jusqu’aux couilles. Le mandrin long et fin est englouti dans le puits ouvert. Stephen ne peut se retenir davantage. Il se retire. Shawn s’agenouille, les cuisses écartées et le felle, avalant son sperme jusqu’à la dernière goutte.
Sylvain se glisse sous elle et l’oblige à s’empaler sur lui, face à lui. Elle loge elle-même le mandrin gros et court dans son anus dilaté et jouit en coulissant dessus. Il décharge sur ses fesses qu’elle embaume.
Silver la sodomise ensuite en levrette, tout en fellant Sean. Ils déchargent presque simultanément.
Ereintée, Shawn se repose sur le canapé, allongée sur le ventre, accoudée et entend Sean dire :

– Cette Marquise est une bête de sexe, plein de charme. Nous lui laissons l’entière liberté de nous soulager. Seuls vous trois, vous l’honorerez. Si un marin ou un esclave non habilité l’honore, il sera pendu ou jeté à la mer.

Shawn a droit à une cabine individuelle avec baignoire. Une esclave noire la baigne. Shawn se branle longuement seule, balancée par les vagues sur le navire, jusqu’à un profond sommeil. Un tabouret comme à Windsor, sert pour ses moments de plaisirs individuels.
Pendant une semaine, elle sera sodomisée par Stephen, puis la semaine suivante par Sylvain et enfin par Silver, qui possède un mandrin long de quinze centimètres et quatre de diamètre. Sean l’honore les jours impairs avec un mandrin de même calibre.

En juillet, Shawn est offerte à un des esclaves, le mieux membré de la cale. Elle s’accommode de son mandrin dans son anus et jouit, dans la cale, devant les autres couples. L’esclave ne peut la caresser, les poignets menottés dans le dos. L’esclave change brusquement d’orifice, sans que Shawn s’en rende compte. Sa chatte a rarement reçu pareil mandrin et elle jouit à nouveau. Mais Silver l’a remarqué par les ondulations du bassin de Shawn. Il le dégage et le conduit sur le pont. Là, devant Shawn, il est enchaîné au mât principal et est fouetté jusqu’au sang, sodomisé par un godemichet, puis il est pendu jusqu’à la rupture de la corde, il tombe à la mer, mort, dévoré par les requins. Shawn a dû mal à trouver le sommeil, après cette mort pour un esclave qui s’est donné à elle.
Quelques jours après, alors que Sylvain veille sur elle, trois marins la violent sans ménagement, en l’absence de ses amants, occupés par la présence de deux vaisseaux anglais et une frégate française. Elle est violée pendant deux heures, les orifices remplis de sperme, en double pénétration avec fellation. Lorsque Silver arrive, ils l’abandonnent, chancelante, à moitié inconsciente. Ils sont traduits sur le pont et sont pendus jusqu’à la mort, les corps sont envoyés à la mer pour l’exemple.
Elle refuse tout acte sexuel pendant une semaine, juste le nettoyage de ses orifices par l’esclave. Elle refuse toute masturbation solitaire, traumatisée. Le médecin du bord l’a fait avorté de ses violeurs.
Sean réussit à déjouer les plans des navires suiveurs.

A la mi-juillet, Shawn, qui a repris goût aux plaisirs, séduit le maître d’armes et le défie à l’épée.

Le combat a lieu sur le pont avant. Shawn est juste vêtue d’un jupon ample et court, ses seins nus sont à peine voilés par une bande de tissu nouée dans le creux des seins, pieds nus, les cheveux libres. Les paris ont commencé à l’aube. Shawn est donnée gagnante à 1/70 et le maître d’armes à 1/3. Shawn donne le coup de lame, à l’avant-bras directeur du maître, qui est légèrement blessé. Mais il continue le combat. Shawn l’esquive et lui assène un second coup de lame à la cuisse droite. Il veut gagner. Mais le troisième coup lui est fatal, elle réussit à le blesser à quelques centimètres du cœur. Il abandonne par forfait. Il sera soigné et mourra des suites de ses blessures, il sera exhumé en mer. Shawn devient la maîtresse d’armes du bord, avec ses années d’expérience auprès des Ottomans, français et anglais, qui l’ont entraîné. Rares sont ceux de ses duellistes, qui ont survécu à ses blessures. Sean lui laisse le droit de choisir un de ses amants parmi les officiers. Elle choisit Flynn, un officier des anciennes troupes d’infanterie du roi George. Elle enseigne son art et en fait de nouveaux hommes plus vindicatifs, guerriers et sans reproches. Elle a maté leur machisme. Sean sait qu’il peut compter sur Shawn et ses hommes.

L’après-midi du 22 juillet, à 200 miles de Bridgetown, le navire est abordé par la frégate française, commandée par l’officier qui l’a enlevé en Tunisie, un ancien corsaire. Un violent combat s’engage jusqu’au coucher du soleil. Les deux tiers de l’équipage et les fantassins de marine, en garnison à bord de la frégate sont massacrés, le dernier tiers est fait prisonnier. Shawn prend le commandement de la frégate, qui passe sous pavillon de Sean. Les prisonniers sont violés par les esclaves, qui sont affranchis. Shawn a sous son aile, une partie de l’équipage du navire et fait route vers Bridgetown. Elle viole aussi les officiers français et les fouettent pour les soumettre. Les plus rebelles sont exécutés par Shawn en personne, d’un coup d’épée bien ajusté et sont exhumés en mer. Elle ne garde que l’officier français Jean-Charles, l’esclave Troy et l’équipage anglais est sous les ordres de l’officier Matt et de son second, Eagle. Troy lui offre un mandrin long de dix-huit centimètres et trois de diamètre, en érection.

En août, lors de la saison des pluies, le navire mouille dans la rade de Bridgetown. L’escale dure trois jours, avant le départ pour Saint-Vincent, pour ravitailler et fêter la victoire.
Les prisonniers français sont remis aux autorités de La Barbade pour attaque d’un navire anglais et rébellion. Les esclaves affaiblis sont vendus à de nouveaux maîtres et de nouveaux esclaves sont rachetés en échange.
Le représentant du roi Louis XV, aux Antilles, responsable de la défense, ordonne à partir des colonies de Guadeloupe et de Martinique et des dépendances françaises des Saintes, Saint-Barthélemy, la zone française de Saint-Martin et la Martinique, ainsi que la Dominique entre 1772 et 1783, la Grenade jusqu’en 1783, la capture de tout navire de combat britannique, croisant dans la zone des 200 miles autour de la Guadeloupe et de la Martinique et des territoires français des Antilles. La frégate française est désarmée, pour être plus légère comme le navire de Sean, avec un équipage réduit. Les canons sont retirés et fondus, ainsi que les boulets, améliorant le tirant d’eau. Il faudra franchir les 175 kilomètres de traversée entre la Barbade et Saint-Vincent.

Pendant trois jours, Shawn est offerte au fils du gouverneur, qu’elle dépucèle et initie à la sodomie, aux vaillants domestiques noirs qui la sodomisent à la maison du gouverneur, à Government House.
Sa plus belle prestation sera dans un club privé, où les couples de bourgeois s’offrent aux équipages faisant relâche à Bridgetown. Là, Shawn subit une double pénétration, sodomisée par un esclave noir, fellant et léchant les invités qui lui sont présentés. L’anus bien dilaté est rempli par des mandrins de bourgeois. D’autres couples voyeurs se caressent devant elle. Ils éjaculent sur son corps. Enfin, elle joue l’esclave soumise, attachée à un portique, le ventre contre une croix, les chevilles et les poignets sont attachés, une ceinture de cuir lui enserre, nue, pieds nus, coiffée d’un chignon, au centre d’une pièce. Les femmes se succèdent pour lécher la chatte ruisselante et le clitoris érigé. Un premier amant s’approche d’elle et lui écarte les fesses :

– Ma belle, je vais te faire jouir du cul !
– Oh oui, fais-moi jouir… Ton gland me défonce le cul… Enfonce-toi dans mon cul…
Le mandrin se loge en profondeur et la lime. Il décharge sur ses fesses, lorsqu’elle atteint presque simultanément un orgasme clitoridien et un orgasme anal.
Douze étalons la sodomisent jusqu’à l’éreintement.

Le troisième jour, avec la marée haute, le convoi appareille.
Shawn a retrouvé son équipage, sur l’ancienne frégate. Entre les quarts, elle se fait sodomiser par Jean-Charles, Troy, Matt et Eagle, suivant ses envies et désirs.
En septembre, le convoi entre dans une des rades de Saint-Vincent. Les esclaves sont débarqués et conduits au domaine. Shawn, les officiers et les hommes de Sean débarquent les derniers. Sean possède un domaine sûr.
Shawn vit dans une villa du domaine, avec Jean-Charles et Troy. Sa seule marque de soumission est une chaîne dorée autour de sa taille. Les troupes de Sean perfectionnent leur escrime. Les femmes sont vendues à des colons blancs. Les hommes servent pour la culture des bananes, tabac, canne à sucre.

Shawn pratique le même sort au gouverneur de Saint-Vincent qu’à La Barbade. Elle devient une dominatrice sur les femmes des colons, qu’elle soumet à ses désirs, lui rappelant ses jeunes années en Angleterre.

A Londres, le roi George III apprend par ses représentants aux Antilles, qu’une blonde vit à Tobago, correspondant à Shawn, qu’il a anoblit officiellement comme marquise du marquisat d’Ascot en 1769. On avait perdu sa trace depuis son exil à Naxos en 1771, où il lui avait retiré son titre. Mais officieusement, elle restait une marquise aux yeux de ses sujets. Une lettre diplomatique est remise à l’attaché des Antilles, pour qu’il la remette à Shawn, qui deviendra à nouveau espionne au profit du royaume et retrouvera ainsi ses titres et ses terres perdues, accompagné d’un acte d’un généalogiste lui confirmant qu’elle a un cousin éloigné, prénommé Sean, naît à La Barbade, lors d’une liaison de son père adoptif à La Barbade en 1759.

En décembre, une frégate britannique entre en rade de Kingstown. Elle débarque l’attaché diplomatique pour les Antilles. Un messager lui a confirmé la présence du navire de Sir Sean, un noble anobli par le roi George III, pour ses actes de guerre, lors de l’escale à La Barbade.
L’attaché est conduit à la résidence de Sean. Il remet à Shawn, devant Sean, la lettre diplomatique et l’acte du généalogiste. Sean ne réprouve pas les actes sexuels consommés avec sa cousine éloignée, portée disparue depuis son deuxième anniversaire.

Son vrai père, n’est pas celui d’Amiens, ni le Lord tué lors de la bataille de Fort Royal, en Guadeloupe, en 1760, du 63e régiment d’infanterie, mais un troisième père, le père naturel, décédé lors de la traversée entre La Dominique et l’Angleterre, un émigré français, de descendants grecs. Sa mère a épousé le Lord, sur le même navire, lors d’une cérémonie officieuse puis officielle à Londres. Shawn porte le nom de Naxos du Barry, affiliée à la famille d’Albret en France. Elle est de sang noble français. Mais son attachement à la Couronne a fait oublié sa vraie noblesse française, qu’elle ne peut renier. Le marquis d’Amiens n’est autre que son frère aîné, abandonné dans un couvent de jésuites. Shawn l’apprend dans le livre de la famille que possède Sean, dans un coffre de la résidence principale du domaine. Sean a réhabilité une des branches de l’arbre familial, car Shawn était considérée comme morte lors de la traversée. Sa mère lui a fait changer son identité patronymique, empêchant toute recherche par un généalogiste. Mais un de ceux-ci acharné à briser le secret et a remonté l’arbre, en Angleterre et en France, en suivant les escapades de Shawn en France. Elle lègue à son fils qu’elle a abandonné en Ecosse, ses terres en France et au Royaume-Uni. Elle ne conserve que les terres des Antilles et sa richesse dans les coffres au Royaume-Uni.

Parmi les passagers de la frégate, Shawn fait la connaissance du comte Delanoy, un descendant d’émigrés français. C’est un officier de l’école militaire royale, section guerre navale.

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