Nous reproduisons ici le déroulement d’une punition réalisée au domicile de la Maîtresse dont nous avons donné le profil dans un très récent article mettant en scène une femme dominante ex-infirmière.
Son soumis en appartenance et en dressage intensif depuis 15 jours maintenant, cumule les fautes depuis 48 heures. Perdant patience et très énervée la dominante lui impose avec fermeté :
« En punition et à la cage ! »
Objectif : remettre le soumis à sa juste place.
Le soumis en tremble mais il n’a pas le choix car c’est avant tout un homme soumis dans l’âme. Lorsqu’il entend sa Maîtresse crier « A la cage ! » il devine que les 24 heures qui vont suivre seront pour lui un véritable calvaire. Présent depuis très peu de temps, il est bien conscient être en position de dressage intensif auprès d’une véritable rééducatrice. C’est ainsi que se qualifie sa Maîtresse. Plusieurs fautes dans le travail ont été remarquées, il sait pourtant que sa rééducatrice est intransigeante. C’est ce qu’il voulait en recherchant une femme dominante.
Trainé avec brutalité par le collier, à genoux entièrement nu, mains dans le dos, il est accompagné au sous-sol de la maison cravache en main. Il est contraint de descendre à genoux et deux par deux les marches du pavillon tant sa Maîtresse tire avec force et sans ménagement sur l’anneau de son gros collier canin en cuir noir très épais. Il a été tondu la veille et son crâne transpirant est lisse. Plusieurs coups de cravache tombent avec force.
« On va à la cage ! et tu y resteras bouclé jusqu’à demain. Cela va t’éclaircir les idées et tu vas pouvoir réfléchir à tes fautes ! Je vais te dresser, tu le sais !!! Tu vas marcher au rythme imposé et à la schlague car tu as été largement prévenu avant ton intégration. Si tu ne le sais pas encore tu vas savoir qui est la cheffe ici ! »
« Stop !!!! en position pour recevoir ton plug ! On va mettre le modèle de discipline, le gros noir, celui que tu n’aimes pas trop et que tu as du mal à supporter ! c’est comme ça et pas autrement !!! Cela va bien t’élargir le rectum et tu en as grand besoin comme je le disais hier !! »
« Maintenant tu places tes mains au sol et on va mettre l’équipement complet : la minerve, le bâillon la cagoule d’isolement et privation de nourriture. »
La cage n’est pas installée à même le sol carrelé, elle repose sur une sorte de structure en bois peinte en rouge d’un mètre de haut avec un escalier très raide que le soumis doit emprunter à quatre pattes pour y être enfermé. Cela s’ajoute à la sensation de pénitence générale. De nombreux crochets et lanières spéciales équipent la cage.
La structure a été fabriquée par un ancien soumis âgé aujourd’hui décédé prématurément comme lui a expliqué sa Maîtresse lors de la visite d’intégration. Le soumis a été esclave domestique pendant cinq ans.
« Allez ! tu entres dans la cage, je te guide. Position de la prière et tu ne bouges pas. Tête plus basse afin que je fixe l’anneau de ton collier à ce lien spécial. Tu ne pourras plus relever la tête. Si tu as soif, je t’apporterai du Champagne doré dans la journée. Tu ne pourras même plus bouger les bras ni les pieds une fois attaché. Tu gardes tes sandales de travail en plastique. De plus je descends le plafond de la cage pour que tu sois encore un peu plus contraint ».
Dans la tête du soumis lui revient l’image de ses premiers contacts il y a trois mois avec cette femme dominante.
Il n’aurait jamais pu imaginer pareille sévérité de la part d’une femme.
« Avec ce bâillon tu vas être très bien. J’adore ce modèle car il est fiable et ne se dégonfle jamais. Si j’entends des bruissements de porc dans la journée tu seras puni samedi. En attendant je te laisse réfléchir à ta situation. En cage, pour moi tu n’es qu’un porc ! »
Puis après verrouillage complet de la cage, le soumis sait qu’il est maintenant dans l’obscurité totale. Il entend le lourd bruit de la porte du sous-sol qui se referme accompagné des deux tours de serrure. Il devine qu’il en a pour 24 heures.
Aussitôt après, c’est le bruit caractéristique des talons de sa Maîtresse marchant dans la cuisine et qui prépare son repas en chantant.
Equipé de pinces sur les seins il en souffre beaucoup puisque la dernière fois que sa Maîtresse lui a imposé cette contrainte une journée entière, des marques très douloureuses sont restées présentes plusieurs jours. En effet, les pinces utilisées sont perfectionnées, composées d’une vis spéciale se terminant en pointe occasionnant une grande douleur lorsque très serrées. De plus sa Maîtresse a testé sur lui avant-hier les aiguilles perforantes en lui expliquant que bientôt il n’aurait plus mal du tout.
En réfléchissant il reconnait que s’il avait eu l’intelligence d’être plus attentif aux ordres il n’en serait pas là. Son mental de soumis lui fait dire que maintenant il va devoir plier et obéir aveuglément. Il n’a pas le choix.