Le réquisitoire de Maîtresse Marie-France

Afin de rappeler les fondamentaux de la domination telle qu’elle se déroule dans le monde réel, nous avons sélectionné un certain nombre d’anecdotes retraçant la vie des hommes soumis. Une petite part d’imagination dans un bain de réalité puisque ces anecdotes sont en grande partie véridiques.

Nous souhaitions depuis plusieurs mois retranscrire pour les lecteurs l’enregistrement d’un réquisitoire s’étant déroulé au domicile de Marie–France une femme dominante d’une cinquantaine d’années vivant à Lyon, laquelle sa vie durant a eu successivement sous sa coupe trois hommes soumis.

Le premier de 2008 à 2015 fut un véritable soumis totalement dressé, malheureusement décédé d’une grave maladie et qui n’avait pas d’enfant. Il a laissé toutes ses économies à Marie-France. Le second conservé durant deux ans de 2016 à 2017 ne convenait plus suite à un début de révolte, et enfin le dernier surnommé Slave et qui est devenu son compagnon-esclave en appartenance depuis le mois de mars 2019.

Cette femme se décrit comme étant une véritable Maîtresse d’expérience. Elle n’a plus beaucoup de contacts dans l’univers du BDSM car elle se refuse en particulier à faire participer son soumis-esclave à des soirées. Sa seule amie est Martine, elle-même dominante habitant Valence et qui possède actuellement un soumis à plein temps à domicile et en plein dressage depuis 3 mois. 

Depuis 2019, Slave nous dit-elle a été parfaitement dressé. Leur vie est donc très calme et bien réglée. Cette dominante doit travailler encore quelques années pour bien compléter ses trimestres de cotisation et Slave sujet très souple et obéissant a en charge l’ensemble des tâches de la maison en dehors des achats domestiques puisqu’il n’est pas autorisé à sortir de la maison sans être accompagné de sa Maîtresse. Leur union a été sacralisée par un mariage gynarchique.

Cette femme décomplexée et très sûre d’elle se décrit comme étant très dure et stricte et d’ajouter que c’est sans doute pour cela que le couple fonctionne très bien.

« Avec moi dans cette vie gynarchique tout est codé, organisé et contrôlé et mon compagnon-esclave ne possède aucune autonomie. Il marche droit, me craint et a appris à ramper devant mon autorité. Il sait que c’est moi la cheffe en tout domaine. Il est conscient de sa situation de lopette. Je décide de tout et il n’a d’avis à donner sur rien. Le seul droit que je lui accorde étant de la boucler, travailler dur et surtout m’obéir à la lettre. Je suis très exigeante sur la qualité et la charge de travail et je ne laisse rien passer. De nombreux rituels ont été mis en place et mon soumis-esclave y est maintenant totalement familiarisé. Les sanctions sont régulières et il connait maintenant les tarifs institués. Slave est noté en permanence au plan travail et aussi au plan comportemental et psychologique. C’est également moi qui gère les besoins de notre couple au plan financier puisque j’ai obtenu procuration sur les comptes de mon soumis. La non plus il n’a aucun avis à donner sur mes décisions. Il n’a aucune vie sexuelle réelle et moi seule régule totalement ses besoins naturels. Il n’a le droit qu’à des traites mensuelles prostatiques pour le soulager que je réalise moi-même dans l’ordre et la discipline et en musique et seulement deux grandes purges complètes dans l’année sur mannequin. Ce régime lui convient bien et ça ne discute jamais. Je gère donc sa santé, son hygiène de vie, sa sexualité, son travail, son activité sportive et ses performances sont sous mon contrôle. La discipline avec moi est stricte, dure et écrite et il est tenu dans un carcan disciplinaire qui maintenant lui est devenu nécessaire et qu’il considère lui-même comme bénéfique pour son équilibre. J’ai supprimé toute forme de divertissement car il doit se consacrer sur moi uniquement et mon confort de vie. Je suis une femme très épanouie et qui trouve ma satisfaction sexuelle avec un amant de couleur très bien monté et puissant nommé Loubo qui est ferme et directif avec moi au lit mais aussi grand amoureux. Slave en est parfaitement informé puisque je lui impose d’assister parfois à nos relations pour qu’il soit à sa juste place. »

Les présentations étant faites, nous relatons ci-après un huis-clos intervenant entre Slave et sa Maîtresse au sujet d’un incident. Comme chaque soir, la dominante rentrant du travail, Slave se précipite pour déchausser sa Maîtresse. Dix minutes s’écoulent durant lesquelles la dominante se change dans sa chambre avant de venir se reposer dans son fauteuil pendant que son compagnon-esclave travaille. Vers 19h00, Marie-France fait chaque soir son inspection journalière avec son carnet de notes. Ce soir, Slave semble triste et sa Maîtresse le questionne immédiatement.

M= MAITRESSE
M : « Slave, tu arrêtes tout !! tu vas immédiatement chercher mes chaussettes de sport, mes baskets et tu chausses Maîtresse ! J’ai très mal aux pieds, tu en profites pour les masser un peu avant ! Exécution ! Et vite !! Au trot !! »
M : « Tu masses bien mes orteils avec ta langue, mes voutes plantaires et mes plantes de pieds avant qui sont échauffées. J’ai marché en talons hauts et j’ai transpiré, mes pieds sont encore humides. Allez à la lèche, au travail et tu t’appliques !! »
M : « Quelque chose ne va pas Slave ? »
Slave : « Puis-je vous parler Maîtresse ? »
M : « Tu es autorisé à parler Slave ! Tu approches ici à genoux, tu restes à mes pieds !! »
Slave : « Maîtresse, j’ai fait une très grosse bêtise ! »
M : « Quoi donc Slave ? Quelle bêtise ? Tu parles et vite, tu sais que Maîtresse déteste les cachotteries ! »
Slave : « J’ai cassé votre grand vase en cristal Maîtresse ! »
M : « Comment ?? tu as cassé mon grand vase celui que j’aime tant et qui appartenait à ma mère ? »
Slave : « Oui Maîtresse, il est tombé malencontreusement alors que je nettoyais les étagères dans la grande penderie Maîtresse. Ce n’est pas volontaire Maîtresse, il m’a lâché des mains, j’avais une grosse journée Maîtresse ! »
M : « Comment peux-tu être aussi maladroit Slave. J’y tenais beaucoup. Je te savais idiot mais pas à ce point. Tu es véritablement nul, tu sais très bien qu’il faut prendre de grandes précautions avec ce genre d’objet. Même si je m’en procure un semblable en ponctionnant directement sur tes économies, il y a l’attachement moral à l’objet. Tu baisses la tête espèce d’abruti !! »
Slave : « Je vous demande pardon Maîtresse ! »
M : « Pas d’excuses tu le sais, cette faute- à tu vas la payer très cher !!! Tu avances tes genoux jusqu’à mes pieds. Tes mains dans le dos et tu me regardes. Tu es prêt ? Je te préviens ça va tomber comme jamais !! Nous allons avoir une très longue explication. »

Les paires de gifles tombent

«Voilà la première série, tu conserves la position tu es très bien placé comme ça. Comme tu peux l’imaginer ce n’est pas terminé. Les explications vont durer toute la soirée et ça va tomber tu t’en doutes. »
Slave : « Je sais Maîtresse ! »
M : « Tu as noté l’incident sur ton cahier de discipline ? »
Slave : « Je n’ai pas eu le temps Maîtresse. »
M : « Tu n’as pas eu le temps !! Tu te moques de moi en plus !! Tiens prends celle-là dans ta face de porc !! Sans doute voulais-tu dissimuler l’évènement pour essayer de gagner du temps. Tu baisses la tête et tu regardes fixement mes pieds !!! Tu relèveras la tête pour la prochaine série quand je le dirai et pas avant. Tu imagines bien que les sanctions vont être à hauteur de la faute ? Comme tu l’imagines je vais te serrer la vis copieusement pendant plusieurs mois, tu vas me payer ça très cher ! Je vais t’en faire baver ! »
Slave : « Oh ! oui Maîtresse je sais »
M : « Allez !!! Tête relevée ! Une bonne série de 25 et tu comptes !! »

Les paires de gifles tombent

M : «Voilà la seconde série, tu as aimé ?? »
Slave : « Oui Maîtresse ! Je le mérite Maîtresse ! »
M : « Ce n’est que l’apéritif. On arrêtera seulement quand je t’aurai déplacé la mâchoire !!! Tu baisses la tête pour le moment !
Première mesure : ta vidange de sperme est supprimée, tu n’auras rien avant le mois de Janvier.
Seconde mesure : annulation sorties familiales sur 6 mois et cage courte en permanence.
Allez on reprend !!! Tête relevée ! Série de 25 et tu comptes !! »

Les paires de gifles tombent

M : « Tu aimes bien ? »
Slave : « Oui Maîtresse ! »
M : « Vas chercher ton cahier de discipline à genoux mains sur la tête et tu reviens vite avec de quoi écrire.
Tu notes : « ce jour vendredi 12 juin j’ai cassé maladroitement le vase de cristal auquel ma Maîtresse était très attachée. Je ne suis qu’une nullité doublé d’un pauvre type totalement cocu. J’ai tenté de dissimuler l’évènement ce qui aggrave ma faute et n’ai donc pas pris soin d’indiquer l’incident sur mon cahier. Le vase est totalement cassé. Ma Maîtresse va acheter un vase en remplacement avec mon argent. A l’heure où j’écris je suis en interrogatoire de discipline face à ma Maîtresse. Lorsque l’interrogatoire sera terminé je noterai sur mon cahier les sanctions qui vont être appliquées. Au-delà des sanctions à venir ma vidange de sperme est annulée et je serai au régime sec sans dérogation jusqu’en Janvier et équipé en cage courte. Mes visites familiales sur 6 mois sont également annulées. Je remercie ma Maîtresse de prendre ces mesures car je mérite d’être très sévèrement puni et corrigé. Ma Maîtresse indique qu’elle va me serrer pendant plusieurs mois. »
Tu poses ce cahier et tu me regardes mains dans le dos .»
Slave : « Oui Maîtresse »
M : « Série de 25 dans ta face de porc, tu ne bouges pas et tu comptes ! »

Les paires de gifles tombent

M : « Voilà ! tu es bien avec ta Maîtresse ? »
Slave : « Oui Maîtresse, oui je le mérite Maîtresse. »
M : « Maintenant on va jouer ! Tu te déplaces à genoux et tu apportes une feuille de papier, une paire de ciseaux et un stylo.
Bien ! Tu découpes la feuille en 3 morceaux et tu marques sur chacun des coupons.

  • 25 coups de cravache à répéter sur 4 samedi de suite. 
  • 7 nuits de suite en cage au sous-sol avec équipement de discipline
  • 1 Séance d’électrostimulation pendant 4 samedi de suite.   

Tu plies chacun des coupons soigneusement et tu vas bien remuer l’ensemble ici au sol . Tu fais ton choix ! Allez !! »
Slave : « Oui Maîtresse »
M : « Tu donnes à Maîtresse le coupon que tu as tiré. Bien ! Je vois que tu as gagné un joli lot. 7 nuits de suite en cage au sous-sol.
Slave, tu vas te lever, me préparer à diner, me servir en tenue, ranger la cuisine et ensuite je t’équipe en tenue réglementaire et tu files en cage pour la nuit. Tu es content ? Ce soir pas de gamelle tu auras seulement une tranche de pain dans mon champagne tiède que tu consommeras en cage tard ce soir, ça te fera les pieds !
Tout va bien Slave ? »
Slave : « Oui Maîtresse »
M : « Très bien ! STOP ! je n’ai pas donné l’ordre de te lever. Tu vas en prendre encore une bonne série dans ta tête d’imbécile ça te fera du bien. La prochaine fois tu feras attention. Tête bien relevée, souriant face à sa Maîtresse et tu vas compter ! Et là je vais bien te frapper avec ma chevalière.

Les paires de gifles tombent

Slave : « Oui Maîtresse ! Merci Maîtresse ! »
M : « Tu files mais avant tu reprends ma lèche de pieds et ensuite au boulot et tête basse toute la soirée ! Tu as intérêt à ramper ! Dans dix jours Loubo vient passer une nuit, tu assisteras debout dans ma chambre et tu verras comme il me baise bien. Et que feras- tu au départ de Loubo ? »
Slave : « Je viendrai boire son sperme ! »
M : « Très bien ! parfait ! Tu sais que c’est la seule possibilité pour toi d’embrasser mon minou »
Slave : « Je sais Maîtresse ! »

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