La rythmothérapie au service du dressage – Suite. Partie 3

Dans cette nouvelle rubrique consacrée à la rythmothérapie de dressage, nous reproduisons ici une conversation intervenue entre Sophie et Martine, deux femmes dominantes très expérimentées et convaincues de l’efficacité de la méthode. Elles ont dernièrement participé à une réunion animée par une spécialiste, réunion portant sur certaines pratiques éducatives pour soumis dont la rythmothérapie adaptée au dressage.

  • Sophie partage sa vie avec un soumis-esclave qui est à demeure depuis cinq ans et qui est totalement rééduqué maintenant.
  • Martine, jeune mais extrêmement sévère et dure a pris sous sa coupe un soumis un peu plus âgé intégré il y a 6 mois. Martine a déjà eu deux hommes soumis antérieurement. 

La conversation porte sur leur expérience commune en la matière.

Les deux Maîtresses sont des femmes très motivées. Les soumis présentés sont en appartenance 7/7 et 24h/24.

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– Sophie : Allo ! Bonjour Martine ! …. Alors ou en es-tu ? Avances-tu suite à la réunion du mois dernier ?

– Martine : Oui parfaitement, tout se passe bien, je vais te raconter. Il est au sous-sol je l’ai collé au rangement de mes chaussures, il en a pour un bon moment, nous pouvons discuter. Je l’ai convoqué un soir face au fauteuil en position de discipline pour lui annoncer qu’il allait suivre un cycle d’un an de rythmothérapie de dressage et qu’en conséquence je lui supprimais son jour de repos hebdomadaire et ses soirées de détente pour le former à cette méthode de rééducation. Je m’attendais à une réaction de révolte qui aurait été sanctionnée immédiatement. Il n’a pas dit un mot de peur que je commence à me mettre en colère car il commence à bien me connaitre.
Pendant la convocation il a été totalement assommé par la nouvelle et l’annonce du contenu de la formation et il n’a pas osé me poser de questions de peur d’une punition car il sait très bien que je ne supporte pas qu’un soumis remette en question mes décisions encore moins pose des questions inutiles. Il n’a de toutes les façons pas le choix, il le sait très bien surtout en voyant ma manière souriante et directive de lui annoncer la chose. Il s’imaginait que la formation se déroulait à l’extérieure. J’ai très vite expliqué que c’était moi qui allais le former ici au premier étage dans la pièce que je vais transformer bientôt en salle de dressage.
J’ai ajouté que cette mesure ne gênerait en rien les rencontres que nous organisons avec le soumis-esclave de mon amie Maryse qui lui est un soumis homo mâle dominant. Le mien est maintenant bien habitué à cette forme de sexualité que je lui ai imposée à son arrivée et il semble y trouver son compte quand il se fait prendre avec autorité par ce mâle. C’est assez amusant à voir, un jour tu assisteras. Je te préviens que ce soumis – esclave est très entreprenant et c’est un spectacle assez bestial. Le mien est très acceptant et se laisse faire. Je savais lors de ma sélection qu’il avait de fortes tendances homo. 
Son équipement de gymnastique a été acheté et on a fait l’essayage. Il rampe comme d’habitude d’autant que je suis de plus en plus dure avec lui et que je ne laisse rien passer mais il semblait tout de même s’interroger sur le contenu du cycle de formation. Il sait que je suis de mauvaise humeur actuellement et il est plat comme une limande n’osant pas trop poser de questions.
Je lui ai expliqué qu’il travaillerait le plus souvent nu et en string ou avec des bas ou plus simplement en collants lycra selon mon humeur. J’en ai profité pour lui commander de nouveaux plugs que je lui fais porter régulièrement.
Je lui ai simplement expliqué que le but était d’améliorer encore un peu plus la discipline pour mieux le centrer sur sa Maîtresse et aussi améliorer sa forme physique. Il n’a pas posé d’autres questions et a baissé la tête comme c’est la règle avec moi. Ensuite il est resté muet comme terrorisé.

– Sophie : Très bien, je vois que le stage a été bénéfique pour toi aussi. Je sais que tu as de bonnes capacités de commandement.
Tu sais que j’ai commencé la formation du mien bien avant la réunion et donc les choses progressent vite pour moi. En ce moment je le fais travailler au medecin- ball de façon intensive pour obtenir une meilleure musculature au niveau des bras. 
J’ai bouleversé ses plannings et il termine ses corvées assez tard le soir afin de libérer des plages me permettant de l’entrainer dans la journée. Il ne bronche pas, tu sais qu’il est très souple lui aussi au plan du mental. Je force sur les compléments alimentaires pour obtenir ce que je souhaite et je surveille son poids plusieurs fois par semaine. Souvent je le fais travailler entièrement nu.
J’ai repoussé sa vidange d’un mois de façon très directive pour qu’il soit un peu plus concentré sur le travail en salle. Sans aucune contestation tant il est formé à ne jamais discuter, il semblait tout de même étonné, aussi lui-ai-je expliqué que la date de son évaluation approchant je souhaite une meilleure concentration mentale sur les exercices de rythmothérapie. 
Il est donc prévenu qu’il sera purgé seulement après son évaluation et en fonction des notes qu’il va obtenir en rythmothérapie et il sait qu’il a intérêt à s’impliquer s’il veut aller au mannequin pour bien tout vider sous mes yeux. 

Note en dessous de la moyenne : purge reportée de 6 mois
Note à la moyenne : massage anal de prostate
Note au- dessus de la moyenne : vidange à la poupée gonflable

Je lui ai expliqué pour ne pas le prendre en traitre. Il fonctionne comme ça depuis cinq ans déjà, plus bas que mes semelles et ça marche au pas cadencé. Depuis mon annonce il a la langue pendante comme un bon toutou et je le manipule comme je souhaite lors des exercices. Je puis te dire que je le fais transpirer et il ne pense à rien d’autre qu’à ses performances et à ma satisfaction. Hier après avoir fait une série de 30 pompes j’ai annoncé calmement et d’une manière très directive une nouvelle série immédiate de 20 avec bouche délicatement posée sur mes pieds et je comptais lentement pour faire durer le plaisir. A chaque descente je me régalais à entendre un beau « Merci Maîtresse ! ». Quand nous avons terminé je lui ai demandé s’il était content d’aller à la purge, il s’est mis à genoux en me suppliant. Je lui ai rappelé que tout allait dépendre des notes attribuées par Maîtresse. A nouveau il m’a embrassé les pieds.

– Martine : J’ai supprimé ses autorisations de sorties qui étaient prévues et il n’a rien dit. Tu aurais vu sa tête. Il a passivement été autorisé à téléphoner devant moi à ses enfants pour annuler deux week-end de liberté. Je rigolais intérieurement. Il est ici depuis six mois mais déjà bien dans le rythme imposé. Plus je suis dure, plus il s’assouplit. Il avait protesté la dernière fois pour une mesure équivalente et il se souviendra très longtemps des sanctions qui sont tombées. C’était il y a trois mois donc, presque à son arrivée, c’est un bon test et cela permet de vérifier que la discipline porte ses fruits. Il semblait triste mais je lui ai dit que la discipline passait avant le reste et qu’il avait intérêt à retrouver rapidement son enthousiasme car il le sait je ne supporte pas un soumis triste.

– Sophie : C’est comme cela que tu dois pratiquer. Ne rien lâcher et serrer sans cesse la vis pour bien le mâter. Je te conseille de couper les séances en deux parties. Idéalement commencer par une heure ou deux de gym au sol, pompes et abdo-fessier en musique et à rythme progressif, bouche à tes pieds et sans lui faire de cadeaux, puis à la suite séance de rythmothérapie. Douche 3 minutes et retour immédiat aux corvées. Tu dois l’abrutir avec ton autorité pour qu’il ne pense plus à autre chose. Il doit de plus en plus être conditionné par ton autorité, c’est comme cela que tu obtiendras un bon résultat.

– Martine : Le mien a reçu un blâme et une bonne punition de niveau 2 pour avoir soupiré alors que je lui imposais deux heures de repassage en soirée la semaine dernière. Non seulement il a fait son repassage jusqu’à 22h mais de plus il a été sévèrement puni le lendemain.

– Sophie : Quelle punition lui as-tu donné pour ça ? Je suis curieuse de savoir.

– Martine : Face à mon fauteuil avec cagoule d’isolement en cuir, un gros livre posé sur la tête, bras croisés dans le dos bien serré et lèche de mes orteils dans différentes positions complexes. Quand le livre tombe c’est 12 coups de cravache à genoux avec fessiers bien ouverts accompagnées de paires de gifles. On a fait ça pendant deux heures. Crois-moi il s’en souvient bien car il craint particulièrement ma façon de frapper juste tout près de sa raie et sur son anus avec une cravache très rigide. C’est ma spécialité et il en pleurait. Je pense qu’il ne soupirera plus d’ici longtemps. 
Ses fesses sont restées marquées pendant 15 jours et il avait mal. C’est en réalité le plus important frapper là où ça fait mal. Pour compléter j’ai imposé le plug punitif pendant 8 jours.
Lorsque la séance a été terminée j’ai exigé de longues excuses en insistant sur le fait que si cela devait se reproduire il ira directement passer 8 jours dans la cage pour gros chien. Je l’ai prévenu qu’il allait en baver car je souhaite maintenant lui serrer la vis encore un peu plus. Il me léchait les pieds en me demandant pardon. Pour seule réponse il a eu droit à une punition complémentaire, en le condamnant à manger sur le sol dans la cuisine et à me remercier pour ce bonus. Il est prévenu pour le prochain soupir. 

– Sophie: Oui je connais c’est une très bonne punition. Tu as eu raison il méritait ça. Bien que le mien soit sous ma coupe depuis cinq ans il lui arrive aussi d’être sévèrement puni. La dernière fois c’était je crois en mars, il a été sanctionné pour un nettoyage non conforme du sol dans la cuisine. Il a refait le travail le soir et comme cela ne me convenait toujours pas il a recommencé trois fois à quatre pattes et tout nu et avec la cravache pour l’aider. Le lendemain je lui ai fait subir un interrogatoire interminable face au fauteuil pour le sensibiliser et le vexer car il s’imagine être un soumis parfait et confirmé. Je lui ai fait copier 100 fois : 

« Je suis un soumis novice et idiot qui ne sait pas laver un sol. Je ne mérite pas d’avoir une Maîtresse dure et sévère, je ne suis qu’une nullité à son service.  Je suis tout juste bon à lécher et boire le sperme des amants de ma Maîtresse lorsqu’elle reçoit un homme et j’aime beaucoup ça ».

Lui aussi a été très sévèrement puni avec une mesure qu’il déteste. Je lui ai imposé la chaise de pénitence que j’ai acheté il y a quelques années. Il est resté assis avec le gros plug anal une journée entière dans le noir, solidement attaché avec cagoule et bâillon. Les jours suivants il était totalement soumis et obéissant et travaillait très bien.

– Martine : J’ai débuté son entrainement de rythmothérapie par plusieurs séances de deux heures de marche statique à différents rythmes. Je lui montre que c’est moi qui commande chacun de ses gestes pour le conditionner totalement. Je l’ai prévenu que chaque erreur à réception d’un ordre valait une punition systématique notée sur son cahier qui est près de moi. Pour la marche statique je luis fais porter des bas, ses baskets d’entrainement, son collier de discipline, un corset de travail en latex, un plug et parfois des pinces aux seins. Les positions portent des numéros que j’annonce à voix haute et directive, cravache en main. J’ai pu planifier une séance de deux heures et par jour. Il est maintenant bien habitué à la tonte chaque semaine comme tu me l’as conseillé.

Position 1 = marche pas de gymnastique normale
Position 2 = marche normale en position accroupi
Position 3= stop 
Position 4 = marche normale en position accroupi bras tendus vers l’avant
Position 5 = marche normale pas accéléré 

Il me sait attentive et se sait sous haute surveillance.  Il est conscient qu’à la moindre erreur il est sévèrement puni. Pour chaque nouvelle séance j’ajoute une ou deux positions supplémentaires à connaitre parfaitement pour la suivante. J’en suis à 15 positions en respectant le manuel. Il sait que je ne fais pas de cadeau. 
Pour le diminuer et le vexer car je sais qu’il n’aime pas je lui dis « Avec moi tu vas travailler comme au chenil et à la cravache et c’est moi la dresseuse ! ». Quand on termine une séance il dégouline de sueur et file à la douche. Il a déjà perdu son ventre. J’y ajoute une alimentation diététique une seule fois par jour. Je rigole intérieurement en voyant ses fesses bien striées par les marques de ma cravache. La semaine prochaine je commence à le faire travailler sur un disque de musique techno pour l’habituer à respecter les rythmes. Mardi il passe chez la tatoueuse.

– Sophie : C’est excellent ! Tu auras un bon résultat je pense. J’ai commencé comme ça avec le mien

– Martine : Je vais te laisser car il est en station d’attente prêt à travailler. Je suis en pleine forme. Ce soir deux heures de marche. Bonne soirée.

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