Entretien entre une femme dominatrice et un homme soumis

Nous avons souhaité simuler ici les échanges téléphoniques intervenant entre une femme dominante et un soumis en recherche d’appartenance (S pour candidat soumis et D pour femme dominante).

D : Peux-tu m’en dire un peu plus sur ton « expérience » antérieure évoquée dans ton profil ?

S : Oui Madame. Je ne reviens pas sur le fait que cela a duré deux années. J’étais à demeure 7 jours sur 7 et 24h/24. J’étais « esclave travailleur domestique », mission générale à laquelle venaient s’ajouter la cuisine, le service, le lavage, et le repassage. Des règles extrêmement strictes avaient été mises en place. Il y avait de très nombreux contrôles sur la propreté, l’hygiène et la qualité générale des travaux. Je devais tenir à jour un cahier de discipline visé chaque soir par ma dominante afin qu’elle puisse vérifier les évènements, les remarques faites, les fautes. J’avais en charge en plus des travaux domestiques : massages des mains, soin des pieds, vernis. Ma dominante voulait se faire servir.

D : Est-ce tout ??

S : Non Madame. J’avais aussi en charge l’entretien du « local spécial » et des instruments punitifs. Au quotidien j’avais un plan de travail que je devais respecter scrupuleusement. Selon les variations de mon comportement, ma dominante selon aussi son humeur organisait des journées plus ou moins dures et pénibles. Si elle me prévenait qu’elle allait serrer la vis, la semaine qui suivait était éprouvante et j’étais souvent épuisé. Elle affectionnait tout particulièrement les changements de planning pour me surprendre et pour m’habituer à être plus souple et malléable. Elle disait sans cesse que je devais ramper devant son autorité, que je n’avais pas d’autres choix. Elle organisait souvent des travaux à réaliser le soir après l’alimentation et jusqu’à heures tardives.

D : Oui je connais cette méthode de déstabilisation et c’est très bien pour une rééducation. Donnes moi des détails sur la discipline.

S : Oui Madame. En premier lieu la discipline s’exerçait par une privation totale de masturbation et de sexe puisque j’étais encagé en permanence. Les seuls soulagements se déroulaient sous son contrôle et selon un calendrier précis ce qui est très vexatoire. Pas d’autres alternatives. La discipline était aussi présente au plan vestimentaire car dès le départ, des tenues obligatoires ont été instituées. Des rituels ont été mis en place à mon arrivée. Les punitions étaient nombreuses et encore plus les trois premiers mois car j’avais tendance à commettre pas mal d’erreurs surtout au début. Au bout d’un an, ma Maîtresse m’a obligé à commander sur internet une cage plus petite. Ces nouveaux modèles venaient d’apparaitre sous le nom de cage plate. Chaque petite faute pouvait entrainer 15 jours en cage plate.

D : Je vois. Tu as sans doute vécu une première période d’évaluation et de dressage je suppose.

S : Oui Madame et je crois savoir que c’est toujours comme ça que les choses se déroulent. La période de dressage a duré trois mois.

: Absolument, c’est indispensable et cela permet à la dominante de savoir comment agir plus tard selon la psychologie de chaque soumis. Il faut bien comprendre qu’il n’est pas toujours facile de mettre un sujet dans le moule. En général au bout de trois mois ça commence à marcher au pas et à la baguette, n’est- ce pas ?

S : Oui c’est exact Madame. Au départ et au-delà du port de la cage de chasteté, ma dominante m’imposait trois jours par semaine le port d’un plug et cela toute la journée. Au début j’en ai un peu souffert car au bout de quelques mois, ma Maîtresse m’a équipé de modèles plus importants en dimension en m’expliquant que c’était impératif. C’est elle-même après un lavement qui installait le plug. Je me suis progressivement habitué.

D : Et ensuite ?

S : Ensuite j’étais pris plusieurs fois par semaine au gode ceinture. Là aussi c’était devenu naturel.

D : C’est effectivement la normalité. Une Maîtresse se doit d’exercer sa suprématie de manière décomplexée. L’autre fois tu évoquais les interrogatoires de discipline, peux-tu m’en parler ?

S : Oui Madame. Ils avaient lieu en moyenne deux fois par mois en respectant un protocole précis. Ils duraient plusieurs heures, souvent le soir. Ma Maîtresse me tourmentait pour tout savoir et aimait explorer mon mental de soumis. Mes sensations, impressions, mes peines, mes joies. Elle insistait beaucoup pour que j’explique l’amélioration que m’apportaient les punitions dans mon comportement. Elle m’indiquait souvent qu’elle notait régulièrement mes progrès mais elle disait que jamais la discipline ne doit être relâchée. Elle insistait beaucoup sur mes sensations face à la chasteté imposée et me demandait à chaque fois en souriant si la masturbation et l’éjaculation me manquaient.

: Tu es donc déjà bien habitué à ces interrogatoires. Etais-tu parfois mis à l’isolement ?

S : Oui assez souvent Madame.

D : Comment se déroulaient ces isolements au plan disciplinaire ?

S : Parfois à caractère punitif d’autres fois sans motif particulier.

: Expliques toi !

S : Nu ou avec string bas et jarretelles le plus souvent, cagoule d’isolement en cuir et plug. Placé au coin avec une balle de ping-pong tenu par le bout du nez contre le mur et un livre épais sur le haut du crâne. Punition bien entendu si la balle et le livre venaient à tomber. Un isolement durait environ de deux à trois heures sans bouger, pieds joints.

D : Très bien. C’est une bonne méthode je connais et pratique de la même manière. Mais avec moi le sujet est placé en présentation sur une petite estrade afin d’être mieux surveillé et de sacraliser l’évènement. Cela est important dans un vrai dressage. Pour ma part je fais alterner la position des pieds. En premier bien à plat, puis cambrés, puis en appuie sur avant des pieds et orteils pour des raisons liées à la discipline permanente.

S : Bien Madame, je comprends.

D : Etais-tu interrogé après ton isolement ?

S : Parfois mais ce n’était pas systématique Madame.

D : C’est pourtant important. Avec moi c’est systématique. Tu vas me parler maintenant des punitions et de quelle manière tu étais puni au plan physique ou autre.

S : La punition classique c’était la fessée main nu ou à la raquette de ping-pong. Les punitions en salle de dressage : Cravache, martinet, paddle, canne de bambou. Inutile de vous dire que mes fesses ont souvent été marquées avec souvent impossibilité de m’asseoir. Mais ma Maîtresse sans mettre de côté les punitions physiques avaient une préférence pour les restrictions. A de nombreuses reprises la date prévue pour une purge était reculée de plusieurs semaines et je n’avais pas intérêt à me plaindre. De la même manière au plan des autorisations de sorties familiales. Souvent j’écopais d’une semaine en cage plate dans la joie et la bonne humeur. D’autre fois ma Maîtresse m’annonçait deux semaines supplémentaires d’attente pour ma vidange. Et j’avais intérêt à la remercier aussitôt.

D : Il t’arrivait de te révolter ?

S : Certainement pas. Je n’avais d’autre choix que d’accepter. C’était comme ça et je n’avais pas à discuter.

D : Tu étais donc parfaitement pris en main.

S : Oui absolument. Une révolte m’aurait couté très cher. De plus je dois reconnaitre que ma Maîtresse était juste.

D : C’est bien normal et un soumis doit plier, tu le sais. Comment se déroulaient les purges, tu m’avais parlé je crois d’un protocole particulier.

S : Oui absolument Madame. Ma Maîtresse avait acheté sur internet un bassin fessier féminin en mousse avec vagin et anus. Mes purges se déroulaient sous ses yeux avec ce mannequin. Il lui arrivait d’inviter une amie elle aussi dominante pour qu’elle assiste afin de me rabaisser encore un peu plus. Souvent les moqueries ne manquaient pas. Une fois libéré de ma cage elle me lubrifiait et je devais commencer à pénétrer le mannequin. C’était très dégradant mais j’étais tout de même heureux de pouvoir me libérer et d’éjaculer. Ces mannequins sont très bien faits. Celui qu’avait acheté ma Maîtresse possédait un vagin très réaliste et très doux.

Mon sperme était recueilli et je devais immédiatement le consommer devant ma dominante et éventuellement l’autre personne présente. Ensuite j’étais immédiatement remis sous cage et tout cela très méthodiquement. Trois mois avant mon arrivée en appartenance ma Maîtresse m’avait imposé l’interdiction formelle de masturbation. J’ai respecté les ordres.

J’ai dû me masturber devant elle à mon arrivée puis ce fut l’enfermement immédiat et de longue durée.

D : Oui, donc tu avais pris l’habitude des purges et c’est ta dominante qui régissait totalement ta vie sexuelle. Comment vivais-tu cela ?

S : Je finissais par m’y habituer. Je n’avais plus de vie sexuelle du tout en dehors des purges programmées sur ce mannequin. Il arrivait en revanche que ma Maîtresse m’ordonne de venir lui lécher le sexe et cela avec dextérité et selon la manière qu’elle souhaitait. Concernant le port nocturne de la cage de chasteté j’ai eu au début quelques problèmes. Ma Maîtresse qui voulait impérativement que je reste sous cage la nuit et sans douleur me faisait porter une chaussette de scrotum en laine très fine et enfermant en un seul bloc pénis, cage et testicules. La chaussette était équipée d’une fermeture spéciale et surtout me protégeait des douleurs. En revanche, durant la journée si je n’étais pas en collants, ma Maîtresse voulait voir mon sexe.

D : C’est une forme de vie à laquelle tu te conformais et c’est très bien. Tes envies étaient donc parfaitement canalisées et tu étais chaste.

S : Ma Maîtresse au bout de la première année me disait que maintenant j’étais rythmé et au final j’acceptais bien tout cela. J’étais absolument chaste et je me suis bien habitué même si parfois j’avais envie d’enlever cette cage.

: Tu m’avais aussi écrit que ta dominante t’avait mis au sport car elle souhaitait un soumis en pleine forme, moins gros et plus musclé.

S : Oui en effet, cela aussi a été un fait marquant pour moi. Dans les premiers jours un équipement neuf m’a été imposé et j’ai commencé à faire du sport selon les directives de ma Maîtresse qui me supervisait et me commandait lors des exercices. J’ai beaucoup transpiré pendant deux ans et ma morphologie a totalement été modifiée en bien je dois l’avouer. C’était très dur. J’ai également été formé en danse rythmique avec deux séances par semaine pour m’assouplir et aussi pour intensifier le climat de discipline.

D : Excellente mesure ! Combien d’heures de sport par semaine ?

S : Entre 5 et 6 heures Madame

D : Excellent régime ! Avec ça et une bonne cage de chasteté tu ne devais plus penser beaucoup au sexe ni à la masturbation. Chaste, sportif bien souple physiquement et mentalement, obéissant et calme c’est comme cela que ça fonctionne avec moi aussi, et après le sport, à la douche et retour aux corvées ! Au pas !! et pas un mot !!

S : Exactement Madame c’est comme cela que j’ai été rééduqué.

D : Peux-tu me parler de ce qui était prévu au plan nourriture et prises de repas ?

S : Oui Madame. Il y a pas mal de choses à expliquer. J’avais interdiction formelle de toucher à la nourriture que je préparais pour les repas de ma dominante. J’ai une fois mangé en cachette un morceau de poulet que j’avais cuisiné et j’ai été puni pour faute lourde. Ma dominante préparait elle-même une fois par mois mes portions de nourriture surgelée composées de farine, huile, viande, poisson, fruits légume et lait. Le tout parfaitement mixé dans un appareil spécial. Cela lui prenait une matinée et c’est le seul jour où elle cuisinait. Je devais consommer 3 portions par jour y compris le matin au petit déjeuner. Parfois, ma Maîtresse y ajoutait quelques restes de son assiette. Interdiction formelle de consommer vin et alcool, seule boisson autorisée étant l’eau du robinet. En cas de mise en discipline renforcée je mangeais au sol. En temps ordinaire j’avais un tabouret bas, sans table ni couverts et mangeais avec les mains.

D : En effet, ta Maîtresse était très stricte mais elle avait certainement ses raisons.

S : Oui Madame, je n’ai aucune critique à formuler

D : Tu m’as fait rire lorsque tu évoquais le fait d’être très régulièrement tondu. C’est une mesure de discipline ?

S : Oui Madame, là aussi la première fois j’étais stupéfait à mon arrivée et puis c’est devenu très vite un rituel chaque quinzaine. Si j’avais eu la mauvaise idée de protester, les sanctions auraient été redoutables. Mesure disciplinaire bien entendu et selon mon comportement ma Maîtresse prenait un malin plaisir à créer des petites bandes très régulières sur mon crâne avec cette fois une tondeuse de petit format. J’ai une fois la maladresse de demander pourquoi elle faisait ça et j’ai eu droit aussitôt à une série de paires de gifles. Ensuite je pouvais me regarder dans une glace et reprendre aussitôt le travail.

D : Très bien cela me donne des idées ! Tu vas maintenant me parler de la façon avec laquelle tu étais puni.

S :Oui Madame. Tout d’abord les paires de gifles n’étaient pas des punitions.

Les paires de gifles étaient bien souvent journalières. Elles tombaient à la moindre petite remarque. Ma Maîtresse avait l’habitude de m’attraper par l’oreille et de me trainer sur un mètre ou deux en plantant ses ongles vernis dans mon oreille sans jamais crier sur moi. Puis je devais me mettre à genoux les bras croisés dans le dos et ça tombait. C’était en général une dizaine de paires de gifles et je ne devais ouvrir la bouche que pour la remercier.

Pour les punitions physiques classiques, ma Maîtresse possédait un petit local équipé d’un banc de punition. Dans ce local se trouvaient accrochés au mur les différents instruments punitifs. Les punitions étaient tarifées en conséquence je savais à quoi m’attendre. L’instrument que je craignais le plus c’était la baguette de bambou.

D : Je crois que tu évoquais aussi l’obligation urologique.

S :Oui Madame, c’était régulier. Sans que je sois prévenu à l’avance j’avais droit chaque semaine au champagne doré. Au début ma Maîtresse a commencé à m’imposer des quantités limitées qu’elle mettait dans ma nourriture puis à compter du deuxième trimestre je devais en moyenne consommer un grand bol d’urine chaude chaque semaine et sans broncher. Je m’y suis bien habitué. Parfois en cas d’indiscipline j’étais mis au pain sec trempant dans l’urine.

D : C’est très bien. C’est capital pour un vrai soumis de boire le nectar de sa Maîtresse. Tu vas aussi me parler plus en détail au sujet de ta situation au plan anal car j’y attache beaucoup d’importance.

S : Oui Madame bien entendu. Comme je vous le disais j’ai eu droit les six premiers mois à différents équipements. Ma Maîtresse choisissait pour moi des plugs souples car elle estimait qu’ils étaient plus agréables à porter une journée entière. Au début elle s’orientait sur des plugs de taille moyenne, puis progressivement elle m’imposa des modèles plus gros souvent en forme de poire. Souvent sur conseil de ses amies dominatrices. Elle en a essayé plusieurs pour comparer. Puis toujours sur les conseils d’une amie elle acheta plusieurs modèles assez longs pour comme elle le disait « mieux activer ta prostate ». Les sensations sont permanentes et puisque j’étais totalement tenu chaste c’était parfois difficile à supporter et ma Maîtresse le savait. Elle disait en souriant « Ce plug va t’aider à faire macérer et produire un beau sperme quand tu seras purgé ». En fin de première année elle décida de programmer deux fois par semaine des exercices de formation au tabouret. Elle commanda plusieurs modèles de plugs équipés d’une ventouse et permettant leur fixation sur le tabouret. Les exercices se déroulaient en musique. Après lubrification je devais m’asseoir pour m’habituer à la pénétration et m’entrainer à entrer et sortir en respectant le rythme musical.

: Je vois que ta Maîtresse a fait du bon travail en deux ans, tu sembles bien familiarisé avec tout cela. C’est un bon point et il est important qu’un soumis soit large. Avec moi c’est plug réglable en métal et à serrure et si tu deviens mon soumis tu y auras droit systématiquement et tu vas t’adapter naturellement. Tu verras qu’avec ça même ta démarche sera modifiée, c’est très amusant de voir un soumis marcher avec ça. De plus c’est réglable en diamètre. Mes soumis se sont familiarisés et ont toujours accepté.

S : Oui Madame, je m’adapterai.

D : C’est à souhaiter pour toi, mais pour l’instant rien n’est fait. Une chose est certaine c’est qu’avec moi tu vas ramper. Comment étais tu commandé au quotidien ?

S : Les ordres étaient toujours annoncés de façon très directe et je n’avais pas intérêt à faire répéter. Souvent en plein travail ma Maîtresse m’ordonnait de tout arrêter et de venir aux pieds bras dans le dos et alors sans motif particulier les paires de gifles tombaient. Puis d’un geste du doigt je recevais l’ordre de retourner au travail. Elle ne faisait aucun commentaire et m’observait pour connaitre mon comportement, ma souplesse et mon acceptation. Elle adorait je pense me regarder reprendre le travail avec mes collants, mes claquettes et mon string et en silence. Elle souriait intérieurement. J’étais totalement son sujet, son objet. Ma Maîtresse m’apprenait à obéir au geste. Mon plan de travail se trouvait épinglé chaque matin dans la cuisine et je devais en prendre connaissance en me levant. Y figurait aussi la tenue du jour. Lorsque ma Maîtresse se levait elle voulait me voir au travail et en tenue. Si erreur de tenue sanction immédiate. Ma Maîtresse était extrêmement dure. Lorsque je devais l’accompagner au supermarché je poussais le charriot et je ne devais pas là quitter des yeux. Je devais la boucler. Si elle me surprenait à regarder une femme, une fois rentré je passais un sale quart d’heure et ça durait toute la journée. Ma Maîtresse exigeait que mes collants féminins soient bien visibles lorsque nous étions dehors. En conséquence je devais toujours retrousser légèrement mon pantalon de survêtement pour que mes bas ou collants apparaissent bien dans mes baskets. Ma Maîtresse disait que je devais m’habituer.

D : C’est bien normal. Je pense que ta Maîtresse a réalisé un gros travail. J’ai d’autres candidats en vue je reviendrai vers toi le cas échéant.

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